j’ai dilapidé notre argent de couple

J’ai dépensé toutes nos économies et je ne sais pas comment le dire à ma femme (mon mari)

Après la sexualité, l’argent est l’un des sujets les plus irritables dans la vie d’un couple. Il est parfois source d’embrouille lorsqu’on en parle et c’est aussi un sujet tabou quand on n’en parle pas. Aussi, la gestion de celui-ci en dit long sur la nature de la relation entre deux conjoints.

L’absence de reconnaissance des mères au foyer

Le pouvoir conféré par l’argent conduit à détenir un travail salarié pour une activité beaucoup plus noble que les diverses tâches liées au travail domestique. Beaucoup de femmes qui restent à domicile souffrent de ce manque de reconnaissance. Et surtout si on a pour compagnon un homme qui doute de sa masculinité.

Pour lui, sa grille salariale est la principale source de valeur et d’estime de soi. Dans de tels cas, des conflits ne peuvent surgir qu’à partir d’une croyance implicite : « Je gagne plus que toi, donc je vaux plus que toi. » Comment la femme peut-elle sortir de ce malaise ? Premièrement, son choix de se dévouer pour sa famille doit être entièrement assumé par les deux époux.

Mon mari est dépensier

Garder un compte personnel n’est pas toujours suffisant pour garantir le respect de l’autonomie et de la liberté de chacun. Notre rapport à l’argent est construit dans l’enfance basée sur les croyances et les messages que nous avons reçus de nos parents. Certains ont été élevés dans la crainte de l’absence, d’autres en abondance.

Si les deux époux ont donc une perception différente du monde, il en résulte une incompréhension. Devant un partenaire irresponsable qui vide la tirelire du ménage, nous sommes en droit de nous plaindre. Mais s’il ne dépense que son propre argent, il vaut mieux se demander : pourquoi est-ce que cela me dérange de voir mon conjoint donner des cadeaux ? Est-ce que j’ai raison ? Pourquoi l’argent me ronge-t-il les doigts ?

Peines de cœur et d’argent

Une séparation difficile entraîne toujours des conflits monétaires comme le partage des biens, le montant de la pension alimentaire et l’indemnité compensatoire. Ceux qui en sont incapables utilisent parfois des fonds pour prolonger artificiellement une relation qui n’existe plus.

Dans tous les cas, il est nécessaire de consulter un psychologue spécialisé ou d’en parler à son entourage. Ceci est fait pour ne pas blâmer le dépensier, mais au contraire, c’est très utile pour trouver des idées ou des solutions pour parler avec l’autre sur les dépenses abondantes.  

je suis sidéen

J’ai chopé le SIDA

Connaitre sa séropositivité pour le VIH est généralement quelque chose de très violent pour une personne. Souvent, la personne est désemparée, il est difficile de savoir quelle attitude prendre ou comment annoncer la nouvelle à ses proches et son partenaire. Par définition, le VIH SIDA est une maladie sexuellement transmissible qui peut conduire jusqu’à la mort.

C’est quoi exactement le SIDA ?

Le SIDA est l’acronyme de Syndrome d’Immunodéficience acquise. Celui-ci décrit l’ensemble des maladies et des infections liées à une déficience acquise du système immunitaire. C’est la phase finale d’une contamination au VIH.

Il entraine une infection chronique pouvant aller à une immunodépression en l’absence de traitement antirétroviral. Cette maladie peut être transmise par la voie sexuelle, la voie sanguine et de la mère à l’enfant pendant la grossesse, l’accouchement et l’allaitement. Comme le virus cible particulièrement le système de défense d’une personne, celle-ci peut être mortelle à un certain stade. Comme toutes les infections, il existe des symptômes préliminaires qui permettent de reconnaitre facilement la maladie.

Quels sont les symptômes du SIDA ?

Certaines personnes peuvent ne présenter aucun symptôme après avoir contracté le VIH. Cette phase peut prendre jusqu’à 10 ans. Par ailleurs, de nombreuses personnes vivant avec le VIH peuvent faire ressortir de légères marques semblables à ceux de la grippe. Dans la plupart des cas, ces symptômes sont visibles 2 à 4 semaines après l’infection.

Les signes avant-coureurs d’une infection par le VIH comme la fièvre, la fatigue, les frissons et un mal de tête peuvent durer quelques jours et quelques semaines. En tout cas, ces signes peuvent disparaître d’eux-mêmes après quelque temps. Il est probable que la contamination par le VIH soit déterminée à tort comme étant une autre maladie. Dans ce contexte, il est fortement conseillé de consulter un professionnel de la santé pour passer un test de dépistage.

Comment prévenir et guérir le SIDA ?

De nos jours, il existe des traitements hautement efficaces pour prendre en charge une infection par le VIH. Un traitement anticipé de l’infection par le VIH peut aussi permettre de vivre une vie saine. Lorsqu’on est atteint du VIH, il est possible de suivre un traitement au moyen de médicaments antirétroviraux.

Ces médicaments réduisent la concentration du VIH dans l’organisme. Ils ralentissent aussi la propagation du virus dans l’organisme en aidant votre système immunitaire à combattre d’autres infections. En d’autres termes, le traitement améliore la santé des personnes atteintes du VIH et prévient la transmission de ce dernier.

Dans tous les cas, il est préférable d’en parler à des proches ou directement à des professionnels de la santé pour éviter de se prendre la tête ou d’établir de nouvelles maladies par la suite.

je souffre de mysophobie a cause du COVID-19

Depuis qu’il y a eu l’épidémie du COVID, je ne peux plus sortir de chez moi ou recevoir, car j’ai peur de l’attraper

La Corona virus ou COVID-19 est une maladie infectieuse causée par le virus SARS-CoV-2. C’est une maladie qui se propage par la bouche ou par le nez quand une personne tousse ou éternue. Pendant un certain temps, le virus a tué d’innombrables innocents dans le monde. Et, c’est tout à fait normal de toujours avoir peur de l’attraper puisque c’est un virus mortel.

Les différentes réactions en contexte du COVID-19

La pandémie de COVID-19 constitue une réalité particulière et inhabituelle. Elle peut affecter les personnes sur le plan physique, mais également sur le plan psychologique. En effet, dans ce genre de contexte, de nombreuses personnes vivront des réactions de stress, d’anxiété et de déprime. Dans cet article, nous allons vous aider dans la gestion des réactions à avoir pendant et après la pandémie pour minimiser leurs impacts dans la vie.

Le COVID est tout d’abord une véritable source de stress. Et comme nous le savons tous, le stress peut entrainer l’anxiété et même aller jusqu’à la dépression. Contrairement à la peur, l’anxiété est une réponse vague ou inconnue. Elle se manifeste lorsqu’une personne croit qu’un évènement dangereux ou malheureux peut se présenter et que nous l’anticipons.

Manifestations liées au stress, à l’anxiété et à la déprime face au COVID

Les réactions de stress, d’anxiété et de déprime peuvent surgir de plusieurs façons chez une personne, et ce, sur divers aspects comme le physique, la psycho, l’émotion et le comportement. Sur le plan physique, il est possible d’avoir des maux de tête, des difficultés de sommeil, la diminution de l’appétit et de l’énergie avec une sensation de fatigue.

À part le physique, le COVID touche beaucoup le plan comportemental ainsi que psychologique et émotionnel. En ayant connaissance des effets néfastes du COVID, une personne peut avoir une sensation d’inquiétudes et d’insécurité suivie d’une vision négative des évènements quotidiens. Cette attitude peut être accompagnée par une irritabilité et une agressivité qui conclut par une difficulté de concentration.

Les moyens pour améliorer la situation

Les différents troubles psychologiques lors d’une pandémie sont parfaitement normaux pour une personne. Par ailleurs, la plupart des gens possèdent déjà les capacités afin de s’adapter à cette situation. Cependant, il est toujours bien de s’informer au maximum afin d’avoir les informations sur le COVID.

Enfin, il est conseillé de prendre soin de soi-même avec quelques conseils pratiques lorsqu’on a des doutes. Comme le COVID attaque en premier le physique d’une personne, il est fortement recommandé de pratiquer une activité physique qui permet aussi d’extraire le stress et d’éliminer les tensions. Pour le plan moral, il est important de rester en contact avec les gens qui vous font du bien.

ma soeur me pique mes petits copains

Ma sœur (frère) n’arrête pas de me voler mes petits (e) copains

Il est important de savoir en premier que les relations entre frères et sœurs ne se passent pas toujours très bien. Ce fait peut être remarqué dès l’enfance jusqu’à l’adolescence et même encore plus loin chez eux. Par ailleurs, il n’y a rien de grave et tout peut toujours s’arranger par la discussion.

Votre sœur (frère) nuit à vos relations amoureuses

Lorsque vous nouez de nouveaux liens avec des personnes extérieures, qu’elles vous apprécient pour ce que vous êtes, cela dérange votre frère ou votre sœur ? Alors pour des questions de jalousie, compétition ou simplement par envie de vous nuire, celui-ci va tout faire pour détruire vos relations amoureuses.

Il ou elle va se comporter de façon antipathique avec votre amie ou alors, essayer de ramener leurs faveurs à sa personne et se faire passer pour votre victime. Dans cette histoire, vous serez sans doute vue comme l’agresseur et le manipulateur. Ce schéma pourrait bien vous isoler de plus en plus, si par malheur votre compagnon s’éloigne. Pour éviter que cela ne vous arrive, il serait préférable de poser des limites entre relations familiales et relations amicales.

Vous stressez à l’idée de voir votre sœur (frère)

Pour essayer d’arranger les choses et d’entretenir une bonne relation, il faut essayer de prévoir des rencontres, comme des frères et sœurs qui s’aiment. Mais alors, il vous arrive de ressentir un certain pessimisme en pensant au rendez-vous à venir.

Si le stress se forme au creux de votre estomac lorsque vous commencez à penser à la sortie qui vous attend, c’est sans doute parce que vous avez tendance à vous concentrer sur les aspects négatifs de votre liaison et à anticiper les discussions qui risqueraient de vous blesser. Des signes que votre frère ou votre sœur possède un trop grand pouvoir sur vous et qu’il est peut-être temps de trouver des solutions. Il faut tout de même savoir que ce genre de comportement est de nature psychologique et il est possible de le traiter avec la discussion ou chez un professionnel.

Un moment passé avec elle (lui) devient épuisant

Vous avez pour attitude de vous réprimer lorsque vous échangez avec votre frère ou votre sœur ? Ne pas se montrer au naturel et craindre d’opérer de la colère au moindre geste n’est pas une attitude favorisée. D’abord, cela demande d’importants efforts au niveau psychologique, voire même physique.

Supporter des phrases et des gestes blessants sans rien répondre en retour pourrait impacter tout simplement votre confiance en soi malgré le déclin que vous tentez de prendre sur l’évènement. La méthode pour améliorer votre relation avec votre frère ou votre sœur est la franchise. La frustration provoquée chez celui-ci va s’affaiblir petit à petit, mais seulement si vous ne permettez plus que l’on vous marche sur les pieds. La discussion pourrait même bel et bien s’ouvrir grâce à l’honnêteté.

qui sont mes vrais parents

Je viens d’apprendre que j’ai été adopté et je me sens vraiment perdu

L’adoption et se faire adopter n’est pas une chose facile pour les parents et pour l’enfant en question. Le plus terrible dans l’histoire c’est que l’enfant peut ne jamais avoir l’occasion de rencontrer ses vrais parents. C’est ainsi que les troubles d’origine psychologique peuvent surgir chez certaines personnes avec une faible capacité morale.

Les raisons qui poussent des parents à faire l’adoption d’un enfant

Il peut y avoir plusieurs raisons pour pousser des parents à procéder à l’adoption d’un enfant. Le plus populaire étant la stérilité des parents ou d’un des parents ce qui ne les permet pas d’avoir un enfant. Quand on n’arrive pas à être parents, ça doit être une découverte sur soi, une culpabilité peut apparaître et être transmise à l’enfant adopté.

Par ailleurs, l’instinct maternel demeure toujours dès le premier moment de rencontre avec son bout de choux. Pour ce dernier, les premiers moments semble facile le fait de savoir qu’on a été désiré même si souvent on a été mis à rude épreuve. Ainsi, il est possible pour l’enfant après un certain âge de vouloir retrouver ses parents biologiques.

Retrouver ou contacter ses sources biologiques

Qu’est-ce qui peut faire autant de mal que de savoir que nous avons étés adoptés et que les personnes avec qui nous sommes ne sont pas réellement nos vrais parents ? Cette question touche actuellement plus d’une centaine d’adolescent à qui on a annoncé trop tôt ou trop tard qu’ils ont étés adoptés.

Qui sont mes vrais parents et pourquoi m’ont-ils abandonné ? Pour l’adolescent, cette question peut avoir plusieurs réponses qui n’aboutissent à rien. Dans plusieurs cas, l’adoption se fait dès les premiers âges de l’enfant ce qui ne laisse pas à ce dernier le temps de connaitre ses parents biologiques. Il est aussi possible de ne jamais retrouver ses vrais parents en raison des documents d’accouchement qui a été noté sous le nom de X. De ce fait, il est peut être impossible de retrouver ou contacter ses racines, mais il est possible d’en savoir plus sur son origine et pourquoi nous en sommes à ce stade.

L’effet de la différence et les éventuelles difficultés en étant un enfant adopté

C’est tout à fait probable qu’il y a une différence vue à l’œil nu entre un enfant adopté et ses parents actuels. Cela peut se voir au niveau du physique. La différence aussi avec les autres enfants, c’est que, il y avait une partie de l’histoire de celui-ci qui a été coupé.

Dans tous les cas, si l’enfant rencontre des difficultés à prendre en compte le fait d’avoir été adopté, il est toujours nécessaire d’en parler directement pour aborder et régler le problème rapidement et facilement.

j’aime trop le sexe

Je suis une addiction au sexe

L’addiction au sexe est un sujet tabou et très souvent mal perçu par certaines personnes. Nous avons tout un rapport différent à la sexualité et nos besoins sont tout aussi différents. Dans ce contexte, il est difficile de comprendre seul si le nombre ou les relations sexuelles vécues sont dans la norme ou si au contraire, la vie intime cache une véritable addiction au sexe ou encore un trouble du comportement sexuel.

Qu’est-ce qu’on entend par addiction sexuelle ?

La nymphomanie est une addiction sexuelle que des experts déterminent comme étant un vrai trouble psychologique. Dans le temps, la nymphomane est profilée comme une femme avec un appétit sexuel insatiable et une obsession sexuelle à faire rougir tout son voisinage.

Pour certaines personnes, les nymphomanes sont des individus dont la seule occupation est de pratiquer des activités sexuelles allant à l’encontre des normes sociétales. Pour d’autres personnes, ce trouble est classifié comme étant un véritable fantasme. Les nymphomanes sont des personnes présentant une souffrance psychologique et physique qu’il est convenable de prendre au sérieux.

Est-ce qu’il existe un profil type de nymphomanie ?

On constate un vécu ancien d’insécurité, ou des traumatismes sexuels vécus dans l’enfance. Certains vont utiliser l’addiction comme un pseudo-médicament face à des situations difficiles à contrôler. C’est pourquoi le traitement ou l’abstinence ne résout pas le problème d’addiction à long terme.

À part cela, il existe plusieurs signes pour savoir qu’une personne est en addiction sexuelle. Dans un premier temps, on peut constater chez une nymphomane des relations sexuelles répétées ou la masturbation compulsive pendant plus de 6 mois. Aussi, la nymphomane recherche sans cesse une stimulation sexuelle comme la pratique de la masturbation ou les pratiques sexuelles à risques. Le fait le plus marquant pour une personne à risques aussi est de ne pas supporter le manque de sexe.

Comment s’en sortir ?

L’addiction sexuelle a une fonction primordiale, c’est celle d’apaiser l’angoisse. La prise en charge passe donc par des thérapies cognitives ou comportementales. Le traitement passe aussi beaucoup par la discussion. On constate que ce sont les personnes qui ont été au départ dans la honte, le dégoût de soi, le mal-être. Le fait d’en parler en groupe crée une dynamique de changement déjà très positive pour une nymphomane.

Enfin, en cas d’état dépressif accentué, d’anxiété importante, de bipolarité, le recours à des traitements médicamenteux peut être temporairement nécessaire, pour traiter l’état psychologique sous-jacent. Mais il faut bien sûr ensuite travailler sur l’addiction en elle-même.

je veux arrêter l’acool

Je suis un (e) alcoolique et je veux arrêter

Selon les statisticiens, la France reste parmi les pays les plus consommateurs d’alcool au monde avec une moyenne de 11L d’alcool consommé par an et par personne. Toujours selon l’avis d’un expert de la santé publique en France, la consommation d’alcool doit être limitée à 2 verres par jours en évitant la consommation abusive journalière.

Quand est-ce qu’on consomme de l’alcool ?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles une personne consomme de l’alcool. Il se peut que l’une de ces raisons soit seulement le fait que notre corps a besoin d’alcool pour le bon fonctionnement de celui-ci. Et dans la plupart des cas, la consommation d’alcool chez certaines personnes est une dépendance.

Certaines personnes utilisent l’alcool en étant un antidépresseurs ou anxiolytique, d’autres pour ses effets désinhibiteurs ou hypnotiques. Dans tous les cas, une consommation d’alcool importante est souvent liée à l’ivresse ou à l’alcoolisme ce qui comporte des effets néfastes pour la santé. En connaissance de cause, ce genre de situation ne semble pas poser de problème pour certaines personnes.

Les bienfaits du sevrage d’alcool

Peu importe la situation et la consommation, un médecin recommande toujours de diminuer la consommation d’alcool. Les raisons peuvent être changeantes d’une personne à l’autre, mais on peut toujours trouver un bénéfice sur le corps à plus ou moins long terme.

Un des bienfaits du sevrage d’alcool est d’avoir des cycles de sommeil plus réparateurs. Contrairement à ce que disent certaines personnes, l’alcool permet seulement de se détendre et d’oublier les tracas quotidiens, mais il n’aidera pas à bien dormir. Il est important de savoir que le sommeil vient du cerveau et que la diminution de la consommation d’alcool peut garder notre cerveau en bonne santé sans parler du cycle hormonal équilibré.

Comment réussir son sevrage alcoolique

La première attitude pour réussir un sevrage alcoolique est la diminution de la consommation d’alcool. Ce choix n’est pas facile pour tout le monde, mais il faut laisser le temps afin d’étudier la motivation et la volonté. Ensuite, il faut bien définir des objectifs en termes de fréquences et de quantité à ne pas dépasser dans le cas où vous souhaitez vraiment réduire votre consommation.

À part la conscience morale, il est aussi possible de réussir son sevrage alcoolique à l’aide de solution médicale. Avec l’évolution de la technologie, il existe de nos jours plusieurs traitements pharmaceutiques pour son traitement comme le nalméfène. C’est un traitement ponctuel que le patient devra prendre à chaque fois qu’il envisage de consommer de l’alcool.

Il y a aussi le traitement par accompagnement psychologique. Dans ce genre de contexte, il existe plusieurs groupes de parole pour vous aider dans votre traitement. De nos jours, on peut constater des groupes d’alcooliques anonymes, l’alcool assistance et l’alcool écoutent.

je suprotège mes enfants et ils ont en marre

Je suis trop protecteur (rice) avec mes enfants et je les empêche de vivre

Les médias rapportent parfois des événements malheureux qui nous donnent la sensation que le danger est à peu près partout. Cela nous amène, sans que l’on s’en rende compte, à être plus craintifs pour nos enfants. Dans ce contexte, il peut être compliqué de savoir si notre approche en matière de protection et de sécurité est adaptée.

Quelle est la différence en protéger et surprotéger ?

Tout d’abord, il faut savoir qu’un enfant a besoin de protection, mais pas de surprotection. La protection signifie répondre aux besoins liés au développement de l’enfant comme son besoin d’amour, d’attachement et de stimulation. Pour bien faire cela, il est important de mettre en place des règles claires, cohérentes, constantes et prévisibles.

Par ailleurs, la surprotection d’un enfant, c’est faire à sa place des mouvements qu’il serait capable d’effectuer lui-même en lui évitant les blessures ou les chagrins. Par exemple, sur un escalier, la surprotection est le fait de prendre dans ses bras un enfant de 2 ans au lieu de lui montrer les gestes à faire pour monter et descendre dessus. Le rôle d’un parent est de guider son enfant en l’aidant au besoin jusqu’au jour où il sera capable de le faire seul.

Conséquences de la surprotection pour l’enfant

Lorsque vous surprotégez votre enfant, il se sent dépendant de vous, ce qui peut nuire au développement de son autonomie. Par exemple, si vous le nourrissez encore à la cuillère alors qu’il est capable de se nourrir tout seul, il pourrait finir par croire qu’il a besoin de vous pour se nourrir.

De plus, en l’empêchant de faire certaines choses ou d’affronter certaines situations désagréables, vous lui envoyez le message que vous ne croyez pas en ses capacités. Même si vous pensez bien faire, surprotéger votre enfant peut donc lui donner l’impression qu’il est incapable de faire quelque chose.

L’importance d’explorer et de faire des erreurs

De 9 mois jusqu’à l’âge de 3 ou 4 ans, votre enfant est curieux et très actif. Il fouille partout et apprend beaucoup de tous les objets. Par exemple, il remarque leurs formes, leurs textures, le bruit qu’ils font quand ils frappent le sol, etc. Ces découvertes sont essentielles pour le développement de son intelligence.

Pour cette raison, il faut le laisser tout-petit explorer son environnement à son goût. Il est aussi tentant de surprotéger votre enfant en l’empêchant de faire des erreurs ou en lui faisant croire que sa faute n’en est pas une pour éviter qu’il se sente dévalorisé. Faire des erreurs et trouver les solutions pour les remettre à sa place permet à l’enfant de faire des apprentissages et de se responsabiliser.

Laisser un enfant libre

Voir son enfant prendre certains petits risques lorsqu’il joue peut d’ailleurs pousser certains parents à adopter un comportement surprotecteur. Pourtant, le jeu libre et risqué est bénéfique, entre autres, pour le développement de l’autonomie, de l’estime de soi, du sentiment de compétence, de la créativité.

En tout cas, que vous soyez parent depuis longtemps ou si vous êtes un nouveau parent, il ne faut pas hésiter à en parler à des personnes de son entourage pour avoir des idées sur le traitement et la protection de son tout-petit.

je souffre de troubles anxieux

Je suis toujours très anxieux (se) et cela m’empêche de vivre.

L’anxiété est un état d’esprit normal qui permet d’augmenter le niveau de concentration et de vigilance en cas de menace ou de défi. Par ailleurs, celle-ci peut devenir une maladie invalidante que l’on surnomme un trouble anxieux généralisé.

Qu’est-ce que l’anxiété ?

L’anxiété est une émotion naturelle face à une menace ressentie. Cet état d’esprit est très utile et elle fait partie de nos réactions d’adaptation aux stimulations extérieures ce qui nous permet d’accroitre notre vigilance dans les nouvelles situations. Cet état psychologique est tout à fait normal lorsqu’elle est bien tolérée et qu’elle n’est pas perçue comme une souffrance excessive.

Il faut savoir que tout le monde ne réagit pas de la même façon face à l’anxiété. D’autres personnes peuvent développer divers troubles en lien avec une anxiété excessive que l’on nomme « troubles anxieux graves ». Ce genre de personne est incapable de mener une vie normale. Il est à prendre en compte que l’anxiété peut facilement devenir un problème majeur de santé mentale.

Quels sont les signes de l’anxiété ?

L’anxiété peut varier d’une personne à l’autre. Dans son plan général, elle envahit l’ensemble du champ de la pensée. Ce qui entraine un trouble de la santé mentale. Elle commence par se caractériser par une sensation de peur, d’inquiétude, de panique ou de malaise. C’est à ce moment aussi qu’une personne peut perdre le contrôle de soi avec une impression de ne plus être soi-même.

Des signes physiques peuvent aussi apparaitre lors d’une anxiété grave ce qui fait penser à d’autres maladies. Il est possible d’avoir des tremblements, des sueurs, un souffle court, des nausées et bien d’autres signes pouvant être l’apparition d’une anxiété. En tout cas, il ne faut jamais penser que l’anxiété peut être une souffrance, mais plutôt une bonne chose pour ceux qui savent bien le gérer.

Quelles sont les causes de l’anxiété ?

L’anxiété ne dispose pas d’une cause unique. Elle est plutôt déclenchée par plusieurs facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux. Il faut savoir aussi que l’anxiété est génétique, c’est-à-dire que l’anxiété est héréditaire. A priori, les troubles anxieux sont souvent reliés par les évènements de la vie.

Certaines tumeurs peuvent déclencher une anxiété. On parle alors ici d’anxiété secondaire comme dans l’hyperthyroïdie, la dépression, les psychoses et le trouble bipolaire.

Comment évolue une anxiété ?

L’anxiété peut s’accroitre de différentes façons. Les différentes périodes de la vie occasionnent de l’anxiété à des niveaux différents. L’adolescence, la ménopause et le troisième âge sont particulièrement propices à l’anxiété à cause des changements profonds qui s’effectuent dans le corps humain.

En tout cas, il ne faut pas s’inquiéter lorsqu’on est une personne anxieux, il faut plutôt y faire face et d’essayer d’en parler à son entourage ou à des professionnels comme les médecins ou les psychologues.

je suis amoureuse de mon patron

Je suis secrètement amoureuse de mon boss et je ne sais pas si je dois lui dire ou pas

Tomber amoureuse, c’est prendre un risque et tomber amoureux de son patron, c’est prendre un risque encore plus considérable. Non seulement cela déstabilise votre équilibre affectif et émotionnel, mais aussi cela met en péril vos rapports entre collègues, votre réputation et votre vie professionnelle. Toutefois, il est conseillé de se poser les bonnes questions et d’assimiler tous les comportements à éviter.

Se remettre en question

La relation amoureuse est toujours une impasse où il est parfois très dur de s’en sortir. Afin d’éviter de vous faire mal, il faut se préparer et poser les bonnes questions. C’est dans ce contexte que nous allons vous guider dans cet article.

Il est inébranlable que l’on passe beaucoup de temps avec notre boss, mais cela ne signifie pas pour autant qu’il faut partager notre vie privée avec celui-ci. Il faut donc bien prendre son temps et ne rien précipiter. Dans la plupart des cas, ce genre de situation est dû aussi à plusieurs facteurs. Être amoureuse de son patron est parfois un sentiment inexplicable qui peut être une source de problème dans le domaine professionnelle.

Pourquoi votre boss vous intéresse-t-il ?

Dans chaque société, le boss est le centre des préoccupations. Qu’il soit adulé ou détesté, il existe toujours un peu plus que les autres ! Lorsque celui-ci est très apprécié par ses équipes, il se met en place une dynamique collective qui ressemble à une situation que vous avez déjà rencontrée.

Dans le cas d’un patron très critiqué, certaines personnes ont une réaction réflexe comme sauver celui qui est isolé. Cette sensation peut cacher un besoin de se rendre irremplaçable. Là encore, il ne s’agit pas d’amour. Cette attitude peut aussi être motivée par le besoin de trouver un compagnon.

Comment avouer son amour ?

Tout d’abord, il faut savoir que chaque histoire d’amour est unique. Une bonne compréhension de ses sentiments accompagnée de quelques connaissances sur l’amour permet de trouver les ressources nécessaires pour déclarer sa flamme. Il n’existe pas de formule ou recette magique pour les étapes à suivre lorsqu’on déclare son amour à une personne à qui on tient vraiment.

Il faut savoir que la déclaration de sa flamme n’est pas un exercice de rhétorique où les bons mots suffisent. L’amour ne se réfléchit pas et il faut savoir profiter du bon moment avec la bonne personne. Ainsi, que ce soit votre boss ou seulement un collègue de travail de niveau N+1, il est toujours possible de déclarer et avouer son amour lorsqu’on tient vraiment à cette personne.

Il est aussi possible d’en parler à son entourage dans le cas où vous avez des doutes sur votre amour ou si vous souhaitez être sure que c’est vraiment de l’amour ou si c’est seulement de l’affection envers une personne supérieure.