Le BLOG – de BESOIN DE PARLER

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je suis une kleptomane

J’aime bien voler des choses, cela me procure du bien et je ne peux me retenir

L’attitude de voler de manière compulsive des objets sans valeur ou dont on n’a pas besoin est ce qu’on surnomme la kleptomanie. Il faut savoir qu’une fois qu’une personne est devenue un kleptomane, il ne peut plus s’en défaire. Par ailleurs, ce genre de situation peut être traité et on peut parfaitement y remédier.

Je suis un kleptomane, que faire ?

Par définition, la kleptomanie est l’impossibilité de résister à une envie de voler des objets dont on n’a pas besoin et qui ont peu de valeur. Cette manie est classifiée comme étant un trouble psychologique chez certaines personnes. Elle peut être associée à une forme d’impulsion qui offre à la personne beaucoup de plaisir à voler suivi de la culpabilité après l’acte.

Il faut savoir que cette maladie peut être soignée et suivie par un professionnel au travers d’une psychothérapie. On peut dire que la kleptomanie n’a rien à voir avec la délinquance ou avec une personne antisociale. Il existe plusieurs moyens pour savoir si on est un kleptomane ou si nous avons un kleptomane dans la société.

Comment reconnaitre un kleptomane ?

On peut facilement reconnaitre un kleptomane ou si nous en sommes un à l’aide de quelques conseils. Premièrement, un kleptomane est incapable de résister à des pulsions de voler des objets sans valeur ou dont on n’a pas besoin. Cela peut aussi être une sensation croissante de tension juste avant l’acte. Enfin, l’intéressé peut ressentir différentes émotions comme l’excitation, le plaisir et le soulagement après le passage à l’acte.

Aussi, il est parfaitement possible de savoir si nous sommes ou non un kleptomane. À l’inverse des voleurs, un kleptomane vole uniquement, car l’instinct est si fort qu’il ne peut pas y résister. Les étapes de kleptomanie apparaissent généralement fréquemment sans aide ou collaboration d’une autre personne. Dans la plupart des cas, une personne souffrant de kleptomanie vole dans des endroits publics comme les boutiques ou supermarchés. Cependant, certaines personnes peuvent trouver du plaisir à voler des amis ou des connaissances.

Que faire si un proche est kleptomane ?

Si vous pensez qu’un ami ou qu’un membre de la famille est kleptomane, il faut lui faire part de vos inquiétudes. Il faut garder à l’esprit le fait que la kleptomanie est un trouble psychologique, et non un trait de caractère. Conseillez-le avec bienveillance qu’un suivi thérapeutique peut l’aider.

Dans le cas où c’est vous qui êtes le kleptomane, sachez que vous pouvez parfaitement traiter cette maladie avec l’aide d’un thérapeute spécialisé dans la dépendance. Il faut savoir que le professionnel de santé ne divulguera jamais vos vols aux autorités. Dans tous les cas, n’hésitez pas à en parler dans votre entourage ou une personne proche en qui vous avez confiance pour vous aider psychologiquement.

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j’ai peur de prendre l’avion

J’ai une peur bleue des avions alors que pour le travail je dois partir en avion

La phobie des avions est une attitude normale pour chaque personne. Il est vrai que ce nouveau moyen de transport suivant la pointe de la technologie n’est pas loin des accidents. Par ailleurs, la peur des avions est différente pour chaque personne. Cela peut même conduire jusqu’à une anxiété très aiguë pour certaines personnes.

Pourquoi une personne a peur de prendre l’avion ?

L’humain est un être rationnel et terrestre. De ce fait, le cerveau d’une personne n’est pas adapté pour voler. Ce qui peut conduire un trouble au niveau de notre cerveau. En d’autres termes, la phobie de prendre l’avion est associée avec l’anxiété ce qui provoque un niveau de peur irrationnel chez une personne normale.

Cette peur nous met dans une situation de défense. C’est pourquoi on peut remarquer des comportements différents comme l’envie de s’échapper ou une accélération du rythme cardiaque. Dans la plupart des cas, la peur de prendre l’avion n’est pas toujours liée à la partie technique de celui-ci. Il est totalement possible que cette peur provienne d’autres sources comme la claustrophobie, la peur de la hauteur ou l’agoraphobie.

Avec l’âge, la phobie des avions augmente

Il n’y a pas encore d’explication pertinente sur le fait que la peur de l’avion augmente en vieillissant. Il faut tout de même savoir que ce n’est pas trop l’âge qui accroit la peur des avions, mais plutôt le fait d’avoir ses progénitures en sa compagnie dans l’avion.

Oui, avec l’instinct protecteur des parents, être en compagnie de ses enfants fait encore plus peur en avion qu’être seule. Ce genre de situation peut mettre une personne dans la culpabilité, de se demander pourquoi avoir fait le choix d’emmener ses enfants dans l’avion.

Comment gérer sa peur de l’avion ?

Il est parfaitement possible de gérer sa peur de l’avion. Pour cela, la meilleure alternative est la gestion de la psycho. Pour cela, la relaxation est une bonne pratique à ne pas mettre de côté à chaque fois qu’on souhaite prendre l’avion.

Pour cela, il serait adéquat de faire quelque chose qui pourra vous distraire ou qui ne vous fera pas penser à l’avion pendant le vol. Selon une étude menée sur quelques personnes, voici quelques conseils très pratiques à utiliser lors d’un vol. Le travail de la respiration, écouter une playlist qui vous plait bien, visualiser des choses positives, la lecture, ce sont tous des outils et des idées qui pourront aidés chacun d’entre nous lors de notre prochain vol.

Pour la gestion du cerveau, il est aussi possible d’en parler à un psychologue ou des amis afin d’avoir encore plus d’idée avant de prendre l’avion, ce qui pourrait bien vous aider à vous rassurer lors de l’embarquement.

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tout le monde est contre moi

J’ai l’impression que tout le monde complote contre moi

Si le mot est souvent souillé, la paranoïa est une maladie psychiatrique pouvant provoquer des démarches dangereuses. Cette qualification de paranoïaque est souvent déplacée de sa véritable signification psychiatrique. Elle peut provoquer chez certaines personnes des expressions dangereuses pour lui-même ou pour autrui. Un vrai malade mental a un manque de confiance en elle-même, à se voir victime ou objet de moquerie d’autrui.

Un trouble de la personnalité paranoïde

La paranoïa est définie comme étant un trouble de la personnalité. Les psychanalystes parlent de psychose. Cette maladie est caractérisée par un « MOI » nourri des hallucinations qu’il considère comme dangereuses pour lui-même. La personne à l’impression qu’on le trompe ou qu’on a l’intention de lui nuire. Ce qui conduit à des angoisses pouvant aller jusqu’au délire.

Il ne faut pas oublier qu’un paranoïaque peut devenir dangereux à tout moment. L’observation lui est impossible et c’est totalement impossible de lui faire entendre raison lorsque celui-ci est déjà dans son délire. Il est complètement déterminé d’être menacé et peut changer d’humeur à l’instant. Cette obsession est souvent accompagnée d’un effet de toute puissance.

Incapable de se remettre en question

Une personne qui se croit rejetée ressent une multitude de sensations. Elle a un sentiment d’impuissance, d’infériorité, se sent isolée, humiliée et mise de côté. Elle se sent visée et pensée qu’elle n’ait plus sa place et n’existe plus. Elle a un ressenti d’être la personne que l’on va quitter, licencier, trahir ou celle dont on ne veut plus.

En général, la paranoïa se développe sur des personnes hypersensibles accompagnées de dépression et d’une forte anxiété. La personne à l’impression d’être le centre d’attention de tout son entourage, et celui-ci est convaincue que tout le monde parle de lui en permanence de façon négative. Cette maladie se manifeste plus souvent chez les patients atteints de schizophrénie.

Un goût pour les procédures et les théories du complot

Il est difficile de sortir le paranoïaque de sa paranoïa. Ce dernier imaginera que les tentatives s’agissent d’une stratégie pour l’atteindre facilement. Selon les psychologues, l’unique manière pour un paranoïaque d’être accompagné est de reconnaître qu’il a un souci.

Aussi, il faut prendre en compte de ne pas argumenter ou de dire à la personne ce qui ne va pas afin d’éviter toute confrontation qui viendrait renforcer la maladie. C’est seulement après ces démarches qu’un psychologue peut venir en aide au patient en lui proposant ce qu’on appelle une thérapie cognitive et comportementale. Il peut aussi s’agir d’une thérapie familiale pour changer sa vision ainsi que sa perception sur le monde qui l’entoure.

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j’ai le mal de vivre

Il n’y a plus rien qui me donne envie, je n’ai plus goût à la vie

Chaque personne est déjà passée à un moment de sa vie par la sensation de ne plus avoir envie de rien et commence à perdre le goût à la vie. C’est ce qu’on appelle le mal de vivre. Cette maladie psychologique est un état dépressif lié à des troubles émotifs. Par ailleurs, il est parfaitement traitable par différents moyens.

Qu’est-ce que le mal de vivre ?

Tout d’abord, le mal de vivre se caractérise par une perte du goût de vivre. La personne touchée commence à perdre ses désirs, ses goûts, ses affinités. Il a l’impression d’être vide et de mener une vie monotone et solitaire. Cette perception d’incapacité avec l’absence du goût à la vie peut conduire au suicide.

Dans plusieurs cas, les personnes souffrant de ce mal-être tente de s’injecter dans la drogue ou l’alcool et même allez chercher des divertissements extrêmes. Ces derniers pensent qu’à travers les émotions intenses, ils se sentent davantage vivre.

Comment vaincre le mal de vivre ?

Dans un premier temps, il est primordial d’identifier les raisons de ce mal de vivre. Il faut se poser les bonnes questions sur la raison du comment et pourquoi vous en êtes à ce stade de la vie. Ensuite, il n’est pas conseillé de se culpabiliser ni de s’en vouloir d’aller mal, mais plutôt trouver des idées pour se sentir mieux.

La bataille contre le mal de vivre demande un peu plus de travail, mais cela en vaut vraiment la peine pour chacun. Il faut toujours avoir une pensée positive et trouver des solutions pour combler le manque qui est en soi. Comme on dit toujours, à chaque problème il existe une solution pour se rétablir du mal de vivre et retrouver son bien-être.

Passage du mal de vivre à la dépression

Pour se sentir mieux, il existe parfois de simples gestes qui nous redonneront un moral d’acier. Par ailleurs, il est possible que le mal de vivre soit si ancré en vous qu’il est difficile de se battre seul. Dans ce contexte, on ne peut plus dire que c’est un stress, mais plutôt une angoisse ce qui peut entrainer une perte d’appétit, des problèmes de sommeil ou une perte de confiance en soi.

Il est alors possible de passer rapidement du mal-être à la dépression sans comprendre les raisons qui étaient à la base d’une simple mauvaise passe. Actuellement, la dépression est une maladie qui touche de plus en plus de monde. Pour mieux y faire face, il est nécessaire de demander l’aide d’un professionnel ou d’en parler à votre entourage.

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je n’ai plus envie de mon partenaire

Entre mon mari et moi, il ne se passe plus rien

Un couple est avant tout le plaisir d’être ensemble, de partager et de se retrouver. Par conséquent, il arrive que chacun se canalise sur ses passions et ait besoin de prendre un peu l’air seul. C’est une situation assez classique. Par ailleurs, est-ce que cela signifie pour autant la fin d’une histoire d’amour ou est-ce que c’est un signe précurseur inquiétant ?

Quelles conséquences pour le couple s’il ne se passe plus rien entre eux ?

Être en couple est plutôt une tendance fusionnelle. Dans tous les cas, un couple c’est ne pas se quitter et rester tout le temps ensemble. C’est un schéma très classique dans l’histoire d’une vie de couple. Rapidement, la vraie vie peut reprendre le dessus et c’est encore une phase d’évolution classique dans l’histoire d’un couple.

C’est à ce moment que les problèmes commencent à survenir s’il ne se passe plus rien entre le couple. Toutefois, il faut savoir qu’il n’y a pas une bonne et une mauvaise manière de vivre en couple. Tout cela fait partie de la vie à deux. Les conséquences qui peuvent être le résultat de ces cas étant bien sûr si l’un des deux partenaires souffre de cette situation et ne voit pas la même idée du couple.

Faut-il garder un jardin secret pour une vie de couple en harmonie ?

Il faut toujours garder à l’esprit que chacun est libre de trouver ses propres règles. Pour cela, une personne a besoin de garder un petit jardin secret pour ses envies propres comme passer du temps avec des copains ou copines.

Il faut aussi comprendre que prendre du temps pour vous peut être très important dans l’équilibre personnel. Ainsi, il faut toujours garder sa bulle personnelle pour s’épanouir individuellement. Il faut aussi noter que le fait de ne pas tout raconter à son ou sa partenaire n’est pas lui mentir, mais plutôt faire preuve de tact. Parfois, l’honnêteté peut nuire à la vie de couple.

Comment retrouver l’envie de partager dans un couple ?

L’éloignement ou prendre du temps pour soi-même ne veut pas dire que l’histoire d’amour est à sa fin. Par contre, le fait de ne plus rien faire avec votre moitié est considéré comme un cas grave. Pour éviter cela, la première décision à prendre est d’en parler avec votre partenaire. Vous pouvez aussi facilement casser votre routine et trouvez des idées qui vont vous plaire à tous les deux.

La communication est la règle importante à prendre en compte dans le cas où il ne se passe plus rien dans un couple. Dans ce contexte, il faut réussir à renouveler un contact et donner une envie d’être ensemble.

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j’ai peur d’aller au travail

À chaque fois que je vais au boulot, j’ai toujours la boule au ventre, j’ai peur de mon patron

Votre sang se fige quand vous entendez sa démarche dans le couloir. La boule au ventre arrive et vous sentez la crise d’angoisse pointer son nez. Bref, vous avez peur de votre boss. Dans cet article, nous allons vous apprendre comment faire pour surmonter cette peur et s’épanouir professionnellement.

Savoir identifier les craintes

La première chose à faire est d’identifier sa crainte. Dans le premier cas, il est possible de craindre son N+1 parce qu’il a, plus ou moins, un « droit de vie ou de mort » sur vous dans cette entreprise, donc avoir peur de vous faire renvoyer.

Posez-vous des questions pour aller plus loin. Auriez-vous vraiment des raisons de vous faire renvoyer ? Avez-vous rempli vos objectifs cette période de l’année ? Peut-être qu’un éventuel licenciement pourrait être un nouveau départ. Vous pouvez aussi trembler devant lui parce que vous n’aimez pas sa manière de s’exprimer ou de communiquer son stress.

Aller de l’avant en affrontant la peur et en changeant notre image

N’allez pas prendre votre boss par le col pour lui dire ses quatre vérités, mais affrontez tout simplement votre peur, en l’occurrence votre patron. Si vous vous en sentez le courage, allez la lui énoncer. Le but est que vous soyez toujours performante au travail.

Si cette solution ne vous convient pas, il vous faudra changer la vision que vous avez du sujet. Si ses cris vous tétanisent, dressez la liste de toutes les fois où il ne hurle pas. La représentation que vous en avez bascule, son image négative s’efface au profit des bonnes images. Et les fois où il crie deviennent anecdotiques.

Se focaliser sur un projet et en discuter

Le dernier recours est d’en discuter avec une personne de votre entourage où tout simplement consulter un psychologue pour gérer facilement votre stress et votre angoisse. Cependant, il est aussi possible de se focaliser sur un projet pour diminuer ses angoisses, soit au sein de votre entreprise, soit à l’extérieur.

Dans toutes les circonstances, il est parfaitement possible de se défaire de ce genre de trouble psychologique pour se sentir mieux à garder son bien-être afin de toujours avoir une bonne santé mentale et physique.

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Envie de suicide – Que faire ?

Des fois j’ai des envies de suicide

Envie de suicide – Que faire ? Il n’existe pas de raison unique aux idées suicidaires. Le sentiment peut subvenir suite à des moments de crise comme le désespoir, un trouble mental, la dépression. Cette sensation peut atteindre plusieurs cas de personne et surtout celles atteintes d’une maladie mentale.

Qu’est-ce qui peut déclencher le suicide ?

Le suicide peut être causé par différents facteurs ou un évènement unique. Dans la plupart des cas, cette émotion est l’interaction de plusieurs facteurs à un moment particulier dans la vie d’une personne qui peuvent l’amener à vivre de désespoir, de la détresse et ainsi avoir des pensées suicidaires.

 Suite aux différents évènements, la personne peut alors en arriver à penser que la mort est une solution pour enfin cesser de souffrir. Les facteurs peuvent être différents pour chaque personne. Le suicide apparait en fait comme étant la seule alternative qu’il reste pour faire cesser une souffrance jugée insupportable.

Qui sont les personnes susceptibles de se suicider ?

La tendance suicidaire peut atteindre toute types et genre de personnes. Les personnes les plus atteintes par celui-ci sont celles atteintes d’une maladie mentale, d’une maladie physique. Dans un cas très courant, le suicide parvient souvent lorsqu’une personne est convaincue qu’il ou elle ne peut plus avoir aucune solution à son problème.

À part cela, les personnes dépendantes à l’alcool, aux drogues et aux jeux de hasard et d’argent sont aussi très susceptibles à la tendance suicidaire. Il y a aussi les personnes vivant des difficultés familiales ou conflits avec ses proches. On retrouve aussi ceux qui ont des problèmes financiers comme le faible revenu ou le fait de ne pas avoir un emploi. Tous ces cas peuvent inciter une personne à avoir une envie de suicide.

Pourquoi se suicide-t-on ?

Généralement, une personne se suicide lorsque celui-ci est persuadé qu’il ne peut plus y avoir aucun remède à son problème et que son dernier recours sera la mort. Souvent, l’envie de mourir est confondue avec l’envie de stopper la souffrance. Il est aussi probable qu’une personne suicidaire n’a pas forcément envie de mourir, mais c’est une personne qui cherche à trouver une solution à ses soucis et stopper la souffrance.

En fait, la pensée suicidaire est un moyen d’en finir avec une existence pleine de souffrance et un moyen de fuir une réalité insupportable qu’un désir de mort. Il est parfois le signe suivi d’un désir de changement, de vivre différemment et avoir une vie loin des déceptions, des ruptures et des difficultés quotidiennes.

Un conseil, si on a des idées d’en finir avec la vie, on doit absolument en parler. Le suicide n’est et ne sera jamais une solution définitive. La discussion permet d’avoir un autre regard sur les soucis et d’obtenir des solutions pour faire face aux problèmes rencontrés.