pour mon mari je ne vaux rien

Mon mari (ma femme) me fait toujours sentir que je suis un (e) moins que rien.

Avoir une rancœur avec un être cher n’est pas nécessairement une mauvaise chose. Le plus dur c’est lorsqu’on ne sait pas comment solutionner les problèmes dans une relation. Les frictions dans un couple peuvent déchainer les pires stress de la vie. C’est une raison pour laquelle une personne se sent parfois moins que rien ne fasse à son ou sa partenaire.

Comprendre la raison de la méprise

Au début, l’affection permet de se sentir facilement accepté. Nous avons beaucoup de bonne résolution et moins d’histoire émotionnelle en jeu. Nous pouvons donc être affectifs et ouverts. Nous pouvons ne pas nous soucier de la façon de résoudre les problèmes dans une relation. Toute cette bonne volonté peut rendre les problèmes relationnels faciles à résoudre.

Il est important de savoir que le temps est irrationnel. De ce fait, une fois que nous nous sommes familiarisés avec une personne, il est possible que nous commencions à nous fier au cerveau rapide et automatique. Il ne faut pas oublier que les problèmes de communication sont très courants dans chaque relation. Dans ce contexte, il est tout à fait normal qu’une personne commence à penser que son ou sa partenaire ne le comprend pas ou que ce dernier prend mal tout ce que vous dites.

Comment résoudre les problèmes dans une relation ?

Premièrement, il ne faut jamais se fier sur le cerveau automatique. Notre cerveau est seulement conçu pour économiser du temps et de l’énergie. Le cerveau humain est alimenté pour rechercher les menaces et assurer notre sécurité. C’est pourquoi celui-ci est toujours une source des problèmes rationnels.

Dans un couple, un des partenaires ou mêmes les deux doivent toujours faire un compromis. De ce fait, il faut apprendre à soulever les problèmes d’une nouvelle façon et avec plus de vulnérabilité. Dans le cas d’une nouvelle relation, il existe quelques conseils qui peuvent aider chacun de nous afin d’anticiper les problèmes comme le fait de prendre le temps de savoir ce qui peut nous tracasser au fond. Lorsque la dispute est déjà éclatée, il ne faut jamais enfoncer le clou, mais la meilleure solution est toujours d’attendre d’être calme avant d’essayer de parler.

Prendre le temps de bien assimiler la situation

Il faut toujours garder en tête que le secret d’un couple heureux est la compréhension. C’est le premier pilier d’un couple. Il faut aussi savoir que peu importe la force de notre amour, celui-ci ne demeure pas automatiquement fort.

Dans tous les cas, il est parfaitement possible d’en discuter avec un professionnel ou avec son entourage pour avoir plus d’idée ou savoir comment se comporter et ne plus se sentir moins que rien face à son partenaire.

comment me comporter avec ma compagne qui a un cancer

Ma compagne (mon compagnon) est atteint(e) d’un cancer et j’ai peur de ne savoir quoi faire pour la soutenir dans cette épreuve

Apprendre le cancer d’une personne proche est toujours aussi bouleversant pour ceux qui l’entourent. Et, il est tout à fait normal de s’interroger très souvent sur son rôle à jouer pendant cette étape difficile que la personne traverse. Dans cet article, nous allons vous apprendre à gérer ce genre de situation et comment faire face à une personne atteinte d’un cancer.

Comment réagir à l’annonce du cancer

Annoncer son cancer est une épreuve pour la personne malade. Elle doit non seulement faire face aux réactions de son entourage, mais également prendre elle-même, à travers cette annonce, pleinement conscience du diagnostic. Ainsi, en tant que proche, quelques comportements simples peuvent participer à rendre cet instant moins difficile.

Ainsi, lorsqu’on est face à une personne atteinte du cancer, il faut adopter un comportement mesuré. Pour cela, il faut toujours rassurer la personne afin d’atténuer sa maladie. Ensuite, il faut être attentif à ce que la personne dit pour éviter de lui surcharger l’esprit, car le cancer attaque en premier la psycho d’une personne. Enfin, il faut toujours soutenir la personne malade psychologiquement et physiquement.

Accompagner le quotidien de la personne et communiquer en toute liberté

Tout au long de sa maladie, une personne atteinte de cancer est très susceptible. Pour cela, avoir l’accompagnement de son entourage est donc très précieux pour ce dernier. Tout d’abord, l’accompagnement physique est très important. De ce fait, l’intention d’accompagner la personne atteinte de cancer pour ses rendez-vous médicaux est déjà très importante pour celui-ci.

La complicité est aussi un fait qui permet à la personne malade de se sentir mieux pour surmonter sa maladie. Pour la maladie, il est important de ne pas avoir de tabou et d’essayer d’alimenter le dialogue autour de la maladie. Vous êtes touchés par ce changement de vie au moins tous les deux. Autant vous y intégrer à deux en vous renseignant vous aussi sur les traitements proposés et en discutant de cela avec votre proche.

Déculpabilisé et pensé à soi

Lorsqu’on est proche d’une personne atteinte d’un cancer, il faut impérativement arrêter de se laisser envahir par un sentiment d’impuissance. En tant que proche, il n’est pas rare d’avoir l’impression que nous ne servons à rien. Ensuite, il ne faut pas hésiter à demander une aide extérieure afin de bien comprendre la situation.

Pour le moral, il faut toujours se changer les idées en ayant une vie active en dehors de la maladie. Il est important de sortir régulièrement pour se vider un peu l’esprit et se recentrer un peu sur soi-même. Parfois, il est impossible de venir en aide à une personne dans le besoin si on n’est pas dans une très bonne condition morale et physique.

je suis un mythomane

Je ne peux pas m’empêcher de mentir à tout le monde et d’enjoliver ma vie

Le mensonge, c’est mal. C’est ce que nous disons toujours à nos enfants. Par ailleurs, il arrive dans la vie que nous fassions de petits ou gros arrangements avec la réalité. Selon les psychologues, la déformation de la réalité est un aspect psychologique qui touche la plupart des personnes dans ce monde.

Une marque de respect

Jouer avec la vérité est indispensable à la vie en société. Savoir mentir ou, du moins, ne pas dire toute la vérité n’est pas une preuve de malhonnêteté, au contraire, c’est une marque de considération et de respect. Autrement dit, toute vérité a sa contrevérité.

Par contre, selon un psychothérapeute américain, c’est en apprenant à dire tout ce qui nous passe par la tête qu’une personne peut apprendre à nous connaitre et à connaitre les autres. Se libérer des pensées et des jugements qui nous angoissent est le seul moyen de vivre des relations authentiques. Il faut prendre en compte en même temps que la sincérité n’a en effet rien à avoir avec la vérité.

Un apprentissage social

Pour une personne normale, la compétence à mentir surgit vers 4 ans. C’est le début de la découverte de l’intimité et qui va être confirmé vers l’âge de 7 ans. À cet âge, l’enfant absorbe le fait qu’il a des pensées intimes et que toutes ces choses n’ont pas à être exprimées.

Avec la prise de conscience, l’enfant se rend compte qu’il peut dire autre chose que ce qui est vraiment, c’est ce qu’on appelle par la suite le mensonge. En se familiarisant, celui-ci peut apprendre à jouer toute la panoplie depuis les petits mensonges jusqu’à la plus grosse imposture en passant par le mensonge de sollicitude.

Un acte de réflexe

Selon une étude menée par des experts psychologiques, une personne normale est incapable de ne pas mentir. Bien sûr, certains mensonges consistent en une distraction consciente et audacieuse de la vérité dans le but d’entourlouper l’autre. Dans le quotidien d’une personne, le fait de dire des mensonges est classifié comme un acte de réflexe et d’instinct auxquels, celui-ci a recours pour se protéger.

En résumé, le mensonge est parfois utilisé pour protéger la relation établie avec une tierce personne. Un individu ment par peur de perdre l’amour d’une autre personne. De fait, les gens qui ont tendance à dire tout ce qu’ils pensent sont des personnes vraiment sûres d’eux. Ce genre de personne prend tellement en confiance avec lui-même qu’ils ne sont pas retenus par la peur de perdre l’amitié de l’autre.

j’ai dilapidé notre argent de couple

J’ai dépensé toutes nos économies et je ne sais pas comment le dire à ma femme (mon mari)

Après la sexualité, l’argent est l’un des sujets les plus irritables dans la vie d’un couple. Il est parfois source d’embrouille lorsqu’on en parle et c’est aussi un sujet tabou quand on n’en parle pas. Aussi, la gestion de celui-ci en dit long sur la nature de la relation entre deux conjoints.

L’absence de reconnaissance des mères au foyer

Le pouvoir conféré par l’argent conduit à détenir un travail salarié pour une activité beaucoup plus noble que les diverses tâches liées au travail domestique. Beaucoup de femmes qui restent à domicile souffrent de ce manque de reconnaissance. Et surtout si on a pour compagnon un homme qui doute de sa masculinité.

Pour lui, sa grille salariale est la principale source de valeur et d’estime de soi. Dans de tels cas, des conflits ne peuvent surgir qu’à partir d’une croyance implicite : « Je gagne plus que toi, donc je vaux plus que toi. » Comment la femme peut-elle sortir de ce malaise ? Premièrement, son choix de se dévouer pour sa famille doit être entièrement assumé par les deux époux.

Mon mari est dépensier

Garder un compte personnel n’est pas toujours suffisant pour garantir le respect de l’autonomie et de la liberté de chacun. Notre rapport à l’argent est construit dans l’enfance basée sur les croyances et les messages que nous avons reçus de nos parents. Certains ont été élevés dans la crainte de l’absence, d’autres en abondance.

Si les deux époux ont donc une perception différente du monde, il en résulte une incompréhension. Devant un partenaire irresponsable qui vide la tirelire du ménage, nous sommes en droit de nous plaindre. Mais s’il ne dépense que son propre argent, il vaut mieux se demander : pourquoi est-ce que cela me dérange de voir mon conjoint donner des cadeaux ? Est-ce que j’ai raison ? Pourquoi l’argent me ronge-t-il les doigts ?

Peines de cœur et d’argent

Une séparation difficile entraîne toujours des conflits monétaires comme le partage des biens, le montant de la pension alimentaire et l’indemnité compensatoire. Ceux qui en sont incapables utilisent parfois des fonds pour prolonger artificiellement une relation qui n’existe plus.

Dans tous les cas, il est nécessaire de consulter un psychologue spécialisé ou d’en parler à son entourage. Ceci est fait pour ne pas blâmer le dépensier, mais au contraire, c’est très utile pour trouver des idées ou des solutions pour parler avec l’autre sur les dépenses abondantes.  

je suis sidéen

J’ai chopé le SIDA

Connaitre sa séropositivité pour le VIH est généralement quelque chose de très violent pour une personne. Souvent, la personne est désemparée, il est difficile de savoir quelle attitude prendre ou comment annoncer la nouvelle à ses proches et son partenaire. Par définition, le VIH SIDA est une maladie sexuellement transmissible qui peut conduire jusqu’à la mort.

C’est quoi exactement le SIDA ?

Le SIDA est l’acronyme de Syndrome d’Immunodéficience acquise. Celui-ci décrit l’ensemble des maladies et des infections liées à une déficience acquise du système immunitaire. C’est la phase finale d’une contamination au VIH.

Il entraine une infection chronique pouvant aller à une immunodépression en l’absence de traitement antirétroviral. Cette maladie peut être transmise par la voie sexuelle, la voie sanguine et de la mère à l’enfant pendant la grossesse, l’accouchement et l’allaitement. Comme le virus cible particulièrement le système de défense d’une personne, celle-ci peut être mortelle à un certain stade. Comme toutes les infections, il existe des symptômes préliminaires qui permettent de reconnaitre facilement la maladie.

Quels sont les symptômes du SIDA ?

Certaines personnes peuvent ne présenter aucun symptôme après avoir contracté le VIH. Cette phase peut prendre jusqu’à 10 ans. Par ailleurs, de nombreuses personnes vivant avec le VIH peuvent faire ressortir de légères marques semblables à ceux de la grippe. Dans la plupart des cas, ces symptômes sont visibles 2 à 4 semaines après l’infection.

Les signes avant-coureurs d’une infection par le VIH comme la fièvre, la fatigue, les frissons et un mal de tête peuvent durer quelques jours et quelques semaines. En tout cas, ces signes peuvent disparaître d’eux-mêmes après quelque temps. Il est probable que la contamination par le VIH soit déterminée à tort comme étant une autre maladie. Dans ce contexte, il est fortement conseillé de consulter un professionnel de la santé pour passer un test de dépistage.

Comment prévenir et guérir le SIDA ?

De nos jours, il existe des traitements hautement efficaces pour prendre en charge une infection par le VIH. Un traitement anticipé de l’infection par le VIH peut aussi permettre de vivre une vie saine. Lorsqu’on est atteint du VIH, il est possible de suivre un traitement au moyen de médicaments antirétroviraux.

Ces médicaments réduisent la concentration du VIH dans l’organisme. Ils ralentissent aussi la propagation du virus dans l’organisme en aidant votre système immunitaire à combattre d’autres infections. En d’autres termes, le traitement améliore la santé des personnes atteintes du VIH et prévient la transmission de ce dernier.

Dans tous les cas, il est préférable d’en parler à des proches ou directement à des professionnels de la santé pour éviter de se prendre la tête ou d’établir de nouvelles maladies par la suite.

je souffre de mysophobie a cause du COVID-19

Depuis qu’il y a eu l’épidémie du COVID, je ne peux plus sortir de chez moi ou recevoir, car j’ai peur de l’attraper

La Corona virus ou COVID-19 est une maladie infectieuse causée par le virus SARS-CoV-2. C’est une maladie qui se propage par la bouche ou par le nez quand une personne tousse ou éternue. Pendant un certain temps, le virus a tué d’innombrables innocents dans le monde. Et, c’est tout à fait normal de toujours avoir peur de l’attraper puisque c’est un virus mortel.

Les différentes réactions en contexte du COVID-19

La pandémie de COVID-19 constitue une réalité particulière et inhabituelle. Elle peut affecter les personnes sur le plan physique, mais également sur le plan psychologique. En effet, dans ce genre de contexte, de nombreuses personnes vivront des réactions de stress, d’anxiété et de déprime. Dans cet article, nous allons vous aider dans la gestion des réactions à avoir pendant et après la pandémie pour minimiser leurs impacts dans la vie.

Le COVID est tout d’abord une véritable source de stress. Et comme nous le savons tous, le stress peut entrainer l’anxiété et même aller jusqu’à la dépression. Contrairement à la peur, l’anxiété est une réponse vague ou inconnue. Elle se manifeste lorsqu’une personne croit qu’un évènement dangereux ou malheureux peut se présenter et que nous l’anticipons.

Manifestations liées au stress, à l’anxiété et à la déprime face au COVID

Les réactions de stress, d’anxiété et de déprime peuvent surgir de plusieurs façons chez une personne, et ce, sur divers aspects comme le physique, la psycho, l’émotion et le comportement. Sur le plan physique, il est possible d’avoir des maux de tête, des difficultés de sommeil, la diminution de l’appétit et de l’énergie avec une sensation de fatigue.

À part le physique, le COVID touche beaucoup le plan comportemental ainsi que psychologique et émotionnel. En ayant connaissance des effets néfastes du COVID, une personne peut avoir une sensation d’inquiétudes et d’insécurité suivie d’une vision négative des évènements quotidiens. Cette attitude peut être accompagnée par une irritabilité et une agressivité qui conclut par une difficulté de concentration.

Les moyens pour améliorer la situation

Les différents troubles psychologiques lors d’une pandémie sont parfaitement normaux pour une personne. Par ailleurs, la plupart des gens possèdent déjà les capacités afin de s’adapter à cette situation. Cependant, il est toujours bien de s’informer au maximum afin d’avoir les informations sur le COVID.

Enfin, il est conseillé de prendre soin de soi-même avec quelques conseils pratiques lorsqu’on a des doutes. Comme le COVID attaque en premier le physique d’une personne, il est fortement recommandé de pratiquer une activité physique qui permet aussi d’extraire le stress et d’éliminer les tensions. Pour le plan moral, il est important de rester en contact avec les gens qui vous font du bien.

j’aime trop le sexe

Je suis une addiction au sexe

L’addiction au sexe est un sujet tabou et très souvent mal perçu par certaines personnes. Nous avons tout un rapport différent à la sexualité et nos besoins sont tout aussi différents. Dans ce contexte, il est difficile de comprendre seul si le nombre ou les relations sexuelles vécues sont dans la norme ou si au contraire, la vie intime cache une véritable addiction au sexe ou encore un trouble du comportement sexuel.

Qu’est-ce qu’on entend par addiction sexuelle ?

La nymphomanie est une addiction sexuelle que des experts déterminent comme étant un vrai trouble psychologique. Dans le temps, la nymphomane est profilée comme une femme avec un appétit sexuel insatiable et une obsession sexuelle à faire rougir tout son voisinage.

Pour certaines personnes, les nymphomanes sont des individus dont la seule occupation est de pratiquer des activités sexuelles allant à l’encontre des normes sociétales. Pour d’autres personnes, ce trouble est classifié comme étant un véritable fantasme. Les nymphomanes sont des personnes présentant une souffrance psychologique et physique qu’il est convenable de prendre au sérieux.

Est-ce qu’il existe un profil type de nymphomanie ?

On constate un vécu ancien d’insécurité, ou des traumatismes sexuels vécus dans l’enfance. Certains vont utiliser l’addiction comme un pseudo-médicament face à des situations difficiles à contrôler. C’est pourquoi le traitement ou l’abstinence ne résout pas le problème d’addiction à long terme.

À part cela, il existe plusieurs signes pour savoir qu’une personne est en addiction sexuelle. Dans un premier temps, on peut constater chez une nymphomane des relations sexuelles répétées ou la masturbation compulsive pendant plus de 6 mois. Aussi, la nymphomane recherche sans cesse une stimulation sexuelle comme la pratique de la masturbation ou les pratiques sexuelles à risques. Le fait le plus marquant pour une personne à risques aussi est de ne pas supporter le manque de sexe.

Comment s’en sortir ?

L’addiction sexuelle a une fonction primordiale, c’est celle d’apaiser l’angoisse. La prise en charge passe donc par des thérapies cognitives ou comportementales. Le traitement passe aussi beaucoup par la discussion. On constate que ce sont les personnes qui ont été au départ dans la honte, le dégoût de soi, le mal-être. Le fait d’en parler en groupe crée une dynamique de changement déjà très positive pour une nymphomane.

Enfin, en cas d’état dépressif accentué, d’anxiété importante, de bipolarité, le recours à des traitements médicamenteux peut être temporairement nécessaire, pour traiter l’état psychologique sous-jacent. Mais il faut bien sûr ensuite travailler sur l’addiction en elle-même.

je veux arrêter l’acool

Je suis un (e) alcoolique et je veux arrêter

Selon les statisticiens, la France reste parmi les pays les plus consommateurs d’alcool au monde avec une moyenne de 11L d’alcool consommé par an et par personne. Toujours selon l’avis d’un expert de la santé publique en France, la consommation d’alcool doit être limitée à 2 verres par jours en évitant la consommation abusive journalière.

Quand est-ce qu’on consomme de l’alcool ?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles une personne consomme de l’alcool. Il se peut que l’une de ces raisons soit seulement le fait que notre corps a besoin d’alcool pour le bon fonctionnement de celui-ci. Et dans la plupart des cas, la consommation d’alcool chez certaines personnes est une dépendance.

Certaines personnes utilisent l’alcool en étant un antidépresseurs ou anxiolytique, d’autres pour ses effets désinhibiteurs ou hypnotiques. Dans tous les cas, une consommation d’alcool importante est souvent liée à l’ivresse ou à l’alcoolisme ce qui comporte des effets néfastes pour la santé. En connaissance de cause, ce genre de situation ne semble pas poser de problème pour certaines personnes.

Les bienfaits du sevrage d’alcool

Peu importe la situation et la consommation, un médecin recommande toujours de diminuer la consommation d’alcool. Les raisons peuvent être changeantes d’une personne à l’autre, mais on peut toujours trouver un bénéfice sur le corps à plus ou moins long terme.

Un des bienfaits du sevrage d’alcool est d’avoir des cycles de sommeil plus réparateurs. Contrairement à ce que disent certaines personnes, l’alcool permet seulement de se détendre et d’oublier les tracas quotidiens, mais il n’aidera pas à bien dormir. Il est important de savoir que le sommeil vient du cerveau et que la diminution de la consommation d’alcool peut garder notre cerveau en bonne santé sans parler du cycle hormonal équilibré.

Comment réussir son sevrage alcoolique

La première attitude pour réussir un sevrage alcoolique est la diminution de la consommation d’alcool. Ce choix n’est pas facile pour tout le monde, mais il faut laisser le temps afin d’étudier la motivation et la volonté. Ensuite, il faut bien définir des objectifs en termes de fréquences et de quantité à ne pas dépasser dans le cas où vous souhaitez vraiment réduire votre consommation.

À part la conscience morale, il est aussi possible de réussir son sevrage alcoolique à l’aide de solution médicale. Avec l’évolution de la technologie, il existe de nos jours plusieurs traitements pharmaceutiques pour son traitement comme le nalméfène. C’est un traitement ponctuel que le patient devra prendre à chaque fois qu’il envisage de consommer de l’alcool.

Il y a aussi le traitement par accompagnement psychologique. Dans ce genre de contexte, il existe plusieurs groupes de parole pour vous aider dans votre traitement. De nos jours, on peut constater des groupes d’alcooliques anonymes, l’alcool assistance et l’alcool écoutent.

je suis boulimique

Je suis déjà en surpoids, mais je ne peux m’empêcher de manger

Le surpoids ou ce qu’on nomme parfois obésité n’est pas du tout une maladie, mais une obsession. Eh oui, ce n’est pas le corps qui souhaite manger des fois, mais le cerveau. En gros, la sensation de vouloir manger sans arrêt est dirigée par notre cerveau ou notre état d’esprit, mais non pas par la faim.

Ce n’est pas l’estomac qui contrôle le poids, mais le cerveau

Le centre de la satiété dans le cerveau est le centre qui contrôle toute notre corpulence. C’est ce dernier qui contrôle le désir de manger, la faim et l’appétit. Ainsi, le désir de manger ou le besoin de la nourriture n’est pas un besoin de votre corps, mais plutôt une obsession excessive venant de votre cerveau.

Il faut savoir que dans un corps humain, c’est le cerveau qui guide tout. Cependant, il est possible que vous soyez dans une dépression totale et votre estomac n’a envie de rien, mais c’est votre cerveau qui demande plus de nourriture. C’est dans ce contexte que la question suivante se pose chez plusieurs personnes : « pourquoi on n’arrive pas à arrêter de manger ? ».

Pourquoi les régimes ne fonctionnent pas ?

Les régimes ne sont pas faits pour fonctionner à long terme. Ce dernier est seulement conçu pour réduire les quantités ainsi que la qualité d’aliments que vous consommez. Une étude scientifique démontre que 80 % des personnes qui suivent un régime retrouvent leur poids d’origine. Par contre, cette diète peut durer de 6 mois à 2 ans.

Par ailleurs, il existe plusieurs inconvénients pour laquelle plusieurs personnes confirment que les régimes ne fonctionnent pas. Lorsqu’on suit un régime, il se peut que notre corps demande plus de nourriture qu’il ne devrait y être. Cela aussi augmenterait le stress ce qui risque d’utiliser la nourriture comme une récompense pour composer celui-ci. Normalement, le suivi d’un régime peut fonctionner pour chacun, mais la faim n’est pas toujours guidée par l’estomac, mais le cerveau qui demande encore plus.

Les régimes miraculeux qui vont tout résoudre n’existent pas

Avant tout, il faut savoir que le comportement lié au cerveau est aussi important que l’alimentation d’une personne. Ainsi, lors d’une prise de masse, il ne faut pas tout de suite culpabiliser de ne pas avoir de discipline et de volonté sur le fait de manger tout le temps. La seule solution pour un régime réussi est de manger sainement et proprement suivant les normes traditionnelles.

Si vous avez des compulsions alimentaires, consultez des médecins, diététiciens et psychologues spécialisés dans les troubles du comportement alimentaire. Dans cette situation, il faut toujours en parler à quelqu’un avant de prendre une décision hâtive qui pourrait nuire à votre santé.

je suis une kleptomane

J’aime bien voler des choses, cela me procure du bien et je ne peux me retenir

L’attitude de voler de manière compulsive des objets sans valeur ou dont on n’a pas besoin est ce qu’on surnomme la kleptomanie. Il faut savoir qu’une fois qu’une personne est devenue un kleptomane, il ne peut plus s’en défaire. Par ailleurs, ce genre de situation peut être traité et on peut parfaitement y remédier.

Je suis un kleptomane, que faire ?

Par définition, la kleptomanie est l’impossibilité de résister à une envie de voler des objets dont on n’a pas besoin et qui ont peu de valeur. Cette manie est classifiée comme étant un trouble psychologique chez certaines personnes. Elle peut être associée à une forme d’impulsion qui offre à la personne beaucoup de plaisir à voler suivi de la culpabilité après l’acte.

Il faut savoir que cette maladie peut être soignée et suivie par un professionnel au travers d’une psychothérapie. On peut dire que la kleptomanie n’a rien à voir avec la délinquance ou avec une personne antisociale. Il existe plusieurs moyens pour savoir si on est un kleptomane ou si nous avons un kleptomane dans la société.

Comment reconnaitre un kleptomane ?

On peut facilement reconnaitre un kleptomane ou si nous en sommes un à l’aide de quelques conseils. Premièrement, un kleptomane est incapable de résister à des pulsions de voler des objets sans valeur ou dont on n’a pas besoin. Cela peut aussi être une sensation croissante de tension juste avant l’acte. Enfin, l’intéressé peut ressentir différentes émotions comme l’excitation, le plaisir et le soulagement après le passage à l’acte.

Aussi, il est parfaitement possible de savoir si nous sommes ou non un kleptomane. À l’inverse des voleurs, un kleptomane vole uniquement, car l’instinct est si fort qu’il ne peut pas y résister. Les étapes de kleptomanie apparaissent généralement fréquemment sans aide ou collaboration d’une autre personne. Dans la plupart des cas, une personne souffrant de kleptomanie vole dans des endroits publics comme les boutiques ou supermarchés. Cependant, certaines personnes peuvent trouver du plaisir à voler des amis ou des connaissances.

Que faire si un proche est kleptomane ?

Si vous pensez qu’un ami ou qu’un membre de la famille est kleptomane, il faut lui faire part de vos inquiétudes. Il faut garder à l’esprit le fait que la kleptomanie est un trouble psychologique, et non un trait de caractère. Conseillez-le avec bienveillance qu’un suivi thérapeutique peut l’aider.

Dans le cas où c’est vous qui êtes le kleptomane, sachez que vous pouvez parfaitement traiter cette maladie avec l’aide d’un thérapeute spécialisé dans la dépendance. Il faut savoir que le professionnel de santé ne divulguera jamais vos vols aux autorités. Dans tous les cas, n’hésitez pas à en parler dans votre entourage ou une personne proche en qui vous avez confiance pour vous aider psychologiquement.