que faire avec ma fille de 15 ans enceinte

Ma fille de 15 ans est tombée enceinte et je ne sais pas quoi faire

La contraception et l’éducation sont actuellement des choses acquises pour les adolescents. De ce fait, de nombreuses jeunes filles entre 15 et 19 ans tombent enceintes chaque année. Comme au Canada, 2,92 % des jeunes dans cette fourchette d’âge font face à la grossesse actuellement, et la plupart du temps non désirée. Dans cet article, nous allons vous préparer à faire face à ce genre de situation si votre propre enfant entre dans ces statistiques.

Comment annoncer à mes parents que je suis enceinte

Entre les parents et les enfants, la discussion doit toujours être aussi ouverte que possible. Dans ce contexte, il n’est pas difficile pour l’enfant de s’exprimer pour annoncer une nouvelle. Il est possible de remarquer plusieurs émotions chez les parents lorsqu’on souhaite leur annoncer une bonne ou mauvaise nouvelle, mais dans tous les cas, il est important de toujours garder son calme et rester compréhensif.

Pour les parents, il est possible que vous n’ayez jamais envisagé de vous retrouver dans ce genre de situation. Par ailleurs, il est toujours bon de savoir que votre fille est encore très jeune et elle a besoin de conseils de votre part. Il faut avoir à l’esprit qu’à partir de ce moment, votre petite fille est une adulte, du moins sur le plan physique et une mère potentielle. Il faut garder aussi à l’esprit que votre enfant aurait pu garder cela pour elle-même, mais avec la confiance et en cherchant votre soutien, elle s’est ouverte en confiant sa grossesse.

Quelles sont les alternatives disponibles ?

Lorsqu’on tombe enceinte, il existe toujours plusieurs options disponibles qu’une personne peut envisager de faire. Par ailleurs, il est toujours conseillé de demander des avis extérieurs pour gérer facilement la situation. Que ce soit pour les parents ou la jeune fille, les avis des personnes extérieurs comme son entourage ou des spécialistes seraient toujours la bienvenue.

Dans la plupart des cas, surtout chez les jeunes de nos jours, l’avortement est toujours la première alternative disponible. Dans le contexte, où la mère souhaite garder son enfant, il est possible de penser à la mise en adoption dès la naissance ou ce que l’on dit toujours, la parentalité. Dans ce dernier choix, la fille peut choisir de vivre seule ou avec le père de l’enfant.

Quelle attitude adopter si vous êtes les parents du garçon ?

On a souvent tendance à négliger que l’annonce d’une grossesse non désirée est aussi un choc chez le père de l’enfant. S’il arrive évidemment que le gars réfute toute responsabilité et laisse la jeune fille tout seule avec le problème.

Encore une fois, si votre fils a eu l’honnêteté de vous parler, c’est qu’il reconnait la valeur de votre jugement et a besoin de votre aide. Il serait peut-être bon d’organiser une rencontre avec toutes les personnes concernées par la situation comme la jeune fille et ses parents afin de prendre ensemble la meilleure décision.

comment me comporter avec ma compagne qui a un cancer

Ma compagne (mon compagnon) est atteint(e) d’un cancer et j’ai peur de ne savoir quoi faire pour la soutenir dans cette épreuve

Apprendre le cancer d’une personne proche est toujours aussi bouleversant pour ceux qui l’entourent. Et, il est tout à fait normal de s’interroger très souvent sur son rôle à jouer pendant cette étape difficile que la personne traverse. Dans cet article, nous allons vous apprendre à gérer ce genre de situation et comment faire face à une personne atteinte d’un cancer.

Comment réagir à l’annonce du cancer

Annoncer son cancer est une épreuve pour la personne malade. Elle doit non seulement faire face aux réactions de son entourage, mais également prendre elle-même, à travers cette annonce, pleinement conscience du diagnostic. Ainsi, en tant que proche, quelques comportements simples peuvent participer à rendre cet instant moins difficile.

Ainsi, lorsqu’on est face à une personne atteinte du cancer, il faut adopter un comportement mesuré. Pour cela, il faut toujours rassurer la personne afin d’atténuer sa maladie. Ensuite, il faut être attentif à ce que la personne dit pour éviter de lui surcharger l’esprit, car le cancer attaque en premier la psycho d’une personne. Enfin, il faut toujours soutenir la personne malade psychologiquement et physiquement.

Accompagner le quotidien de la personne et communiquer en toute liberté

Tout au long de sa maladie, une personne atteinte de cancer est très susceptible. Pour cela, avoir l’accompagnement de son entourage est donc très précieux pour ce dernier. Tout d’abord, l’accompagnement physique est très important. De ce fait, l’intention d’accompagner la personne atteinte de cancer pour ses rendez-vous médicaux est déjà très importante pour celui-ci.

La complicité est aussi un fait qui permet à la personne malade de se sentir mieux pour surmonter sa maladie. Pour la maladie, il est important de ne pas avoir de tabou et d’essayer d’alimenter le dialogue autour de la maladie. Vous êtes touchés par ce changement de vie au moins tous les deux. Autant vous y intégrer à deux en vous renseignant vous aussi sur les traitements proposés et en discutant de cela avec votre proche.

Déculpabilisé et pensé à soi

Lorsqu’on est proche d’une personne atteinte d’un cancer, il faut impérativement arrêter de se laisser envahir par un sentiment d’impuissance. En tant que proche, il n’est pas rare d’avoir l’impression que nous ne servons à rien. Ensuite, il ne faut pas hésiter à demander une aide extérieure afin de bien comprendre la situation.

Pour le moral, il faut toujours se changer les idées en ayant une vie active en dehors de la maladie. Il est important de sortir régulièrement pour se vider un peu l’esprit et se recentrer un peu sur soi-même. Parfois, il est impossible de venir en aide à une personne dans le besoin si on n’est pas dans une très bonne condition morale et physique.

ma fréquentation m’a amené en prison mais j’en ai peur

Je viens de sortir de prison et je veux changer de fréquentation pour ne plus refaire les mêmes bêtises, mais j’ai peur d’eux.

Tous les détenus qui entrent en prison seront un jour amené à sortir. Il est dans l’obligation de la société qu’il ne rechute pas et qu’il puisse réhabiliter. Une telle réintégration ne peut pas se faire du jour au lendemain. Elle a besoin de préparation et d’accompagnement.

Une vie pénible après la sortie de prison

Même en faisant conception des craintes de tout le monde, le retour vers le monde libre est toujours pénible pour la simple raison que le détenu y est peu préparé durant son isolement. Par ailleurs, ce n’est pas pour ceux qui ont une famille. Outre, 50 % des personnes sorties de prison sont impatiemment attendus par leur famille.

Une fois dehors, la priorité est de trouver un logement, du travail et entamer les démarches administratives comme la CPAS et la mutuelle. Ce n’est pas toujours évident quand on a été séparé de la vie en société pendant plusieurs années ou que l’on n’a jamais été autonome. C’est là que se pose la question si la prison prépare vraiment un détenu à sa réhabilitation.

Le monde du travail et de la formation

Il est vrai que des interventions sont mises en place pour préparer la réhabilitation. Pour tous les prisonniers, il est bon de savoir qu’il existe deux types de formation proposés au sein des prisons. Il s’agit des formations professionnelles, dispensées la plupart du temps par des écoles de promotion sociale et permettant l’obtention d’un diplôme ou d’une attestation de réussite, ainsi que des formations non qualifiantes généralement prises en charge par des associations n’octroyant qu’un certificat de fréquentation des cours.

Les pratiques diffèrent fortement d’un établissement à l’autre, en fonction de l’administration pénitentiaire, des priorités de la direction et du personnel, ainsi que de l’architecture des bâtiments et bien entendu de la motivation des détenus. De plus, comme dans certaines prisons, il n’y a pas de travail pour tout le monde, et il faut parfois attendre plusieurs semaines voire des mois avant d’y adhérer.

La délinquance n’est pas un hasard

Avant de parler de réinsertion, il faut avant tout se pencher sur le cas de l’insertion. Comme tous les détenus, le banditisme n’est pas le fruit du hasard, mais provient parfois d’un déséquilibre mental. Celui-ci implique souvent le retrait familial ou scolaire, un manque de repères, une instabilité matérielle, une dépendance à l’alcool ou drogue, voire même une recherche d’affirmation.

Que ce soit pour la réinsertion d’une personne libérée ou pour un changement de mentalité générale il est primordial de remettre l’individu au centre, réinventé des liens et tisser du relationnel. Ce genre de situation peut se passer par un attachement à des personnes ou à des projets comme la participation à une activité, un objectif sportif ou l’implication dans une association.

je suis surendetté et je ne vais pas m’en sortir

Je suis très endetté et jamais je n’arriverais à tout rembourser

Voulez-vous vous défaire de vos problèmes financiers ? Pour cela, il est important à savoir qu’il faut commencer par changer le mode de vie et à renoncer à vivre au-dessus de ses moyens. Pour le plan psychologique, les dettes sont source de stress et d’angoisse. Si ceux-ci ne sont pas régularisés, elles risquent de s’accroitre rapidement en faisant un impact majeur dans la vie.

Suivre de près son budget

Pour sortir de vos problèmes financiers, vous devez connaître les raisons de votre endettement et les identifier avec précision. Il peut s’agir d’une perte d’emploi ou d’un accident, mais dans la majorité des cas, les dettes s’accumulent à cause de mauvaises habitudes souvent liées à une consommation excessive. Le meilleur moyen d’y arriver est d’établir un plan efficace en faisant un suivi de votre budget personnel de façon périodique.

Il vous est donc nécessaire de faire une analyse de votre état financier en sortant vos relevés de compte. Prenez le temps de lister vos dépenses pour savoir où va votre argent. Les dettes viennent lorsqu’il y a un écart entre vos revenus et vos dépenses, car pour essayer de compenser la différence les gens s’endettent. Pendant qu’il est encore temps, adoptez de nouvelles habitudes de consommation en planifiant vos dépenses, en évitant les achats impulsifs et l’utilisation abusive des cartes de crédit.

Respectez ses engagements

Le remboursement de vos dettes est une entreprise sérieuse que vous devez affronter intelligemment. En dressant une liste, vous aurez une idée du montant total de celles-ci. Elle vous servira d’inventaire pour visualiser la somme que vous devez à vos créanciers pour démontrer que vous êtes solvable.

En fonction de cette liste, déterminez la dette que vous allez payer en priorité. Concentrez-vous sur une dette à la fois. Il est conseillé de commencer par rembourser celui qui a le plus haut taux d’intérêt en adoptant soit un paiement échelonné soit un remboursement partiel. Lorsque les circonstances vous le permettent, payez le maximum de temps en temps pour venir à bout de vos dettes rapidement. Pour le reste, ne versez que le minimum jusqu’à ce que la première dette soit entièrement remboursée.

Développement d’une culture d’épargne

Une fois que vous aurez réussi à entamer un recouvrement de dettes, vous pourrez remettre de l’ordre dans votre vie financière. Un plan d’épargne peut vous aider à pallier les coups durs. Pour faire plus d’économies, évitez les petites dépenses quotidiennes inutiles.

Pour réussir à sortir de l’endettement, fixez-vous des objectifs à long terme. Restez réaliste et ne soyez pas trop strict envers vous-même pour ne pas vous décourager. Ayez de la rigueur pour pouvoir l’appliquer. Vous aurez donc à distinguer les dépenses essentielles de celles qui peuvent être réduites suivant votre revenu mensuel.

je cache à mes parents que je suis actrice porno

Je suis actrice porno et mes parents ne le savent pas

Selon un spécialiste, une femme ne devient pas star du porno par tentation à l’argent, ni par naïveté, mais par le besoin de reconnaissance. Aussi, la pornographie n’est pas vue comme un métier, mais une phase de transition dans la vie de certaines femmes. Mais, on va voir ensemble pour quelles raisons une femme est poussée dans le milieu de la pornographie.

Pour quelles raisons les jeunes femmes entrent-elles dans le milieu de la pornographie ?

Tout d’abord, les jeunes femmes qui entrent dans le milieu de la pornographie souhaitent avoir plus de reconnaissance. Dans la plupart des cas, ces jeunes femmes ont connu un rapport de père difficile, voire inexistant, et avec le temps cette psychose n’a fait qu’accentuer. Par ailleurs, il faut tout de même savoir que la pornographie est vue comme un acte de violence dont certaines femmes ne mesurent que très rarement les conséquences.

Le salaire moyen d’une actrice porno va de 250 à 500 euros. De ce fait, l’argent n’est pas du tout une raison pour laquelle une jeune femme entre dans le milieu de la pornographie. En vérité, la dimension financière n’est pas élémentaire, car la pornographie n’est pas un travail, mais une étape dans la vie. L’argent c’est ce qui pousse la prostitution, mais la pornographie c’est la reconnaissance.

Les actrices présentent-elles un profil psychologique particulier ?

Il faut savoir que tout le monde dispose d’un profil psychologique particulier. Cela peut être dû à plusieurs facteurs. Pour les actrices pornos, cela est dû à la carence affective, mais non pas la perversion. L’absence de père ou un rapport conflictuel avec lui est un quasi constant.

Cependant, le fait de devenir star du porno est une expérience à part entière où on apprend évidemment beaucoup de choses sur soi-même et ses limites. Le travail a une dimension de diversion pour l’actrice et libérateur pour le spectateur. En d’autres termes, devenir star du porno peut atteindre facilement et rapidement la morale d’une jeune femme ce qui peut entrainer un traumatisme toute la vie.

Est-ce que la pornographie donne accès à des choses dont certaines femmes ont besoin ?

Un point sûr pour la raison qui pousse une jeune femme dans la pornographie est de savoir par la suite que le prince charmant n’existe pas. Tourner une seule scène pour ces jeunes femmes, c’est se mettre dans la tête qu’il faudra vivre avec cette idéologie toute sa vie. Bref, la pornographie permet d’offrir plus de responsabilités.

En tout cas, pour se libérer de ce fardeau, il est conseillé pour les jeunes femmes de consulter un professionnel ou une personne de son entourage avec qui en parler pour un soutien moral. Le passage vers la pornographie est totalement évitable pour chaque jeune femme.

j’ai peur de retomber enceinte suite a une fausse couche

J’ai fait une fausse couche et j’ai peur de tomber enceinte et de revivre cet enfer

La fausse couche est quelque chose que bien des mères redoutent. Lorsque cela se produit, c’est un choc, même un traumatisme, souvent minimisé par l’entourage, et cela doit être surmonté. Difficile de croire qu’on puisse tomber enceinte à nouveau.

Apprendre à gérer cette peur de la fausse couche

Votre défi au cours de cette grossesse est de faire face à cette peur et à votre histoire. C’est vrai qu’il est dur de se remettre, mais il n’est pas possible d’arrêter de vivre et de rester enfermer dans cette peur. Ainsi, il est conseillé de se faire confiance et de se dire que l’on va y parvenir.

À part la gestion psychologique, il existe des professionnels comme votre médecin traitant qui sera à vos côtés pour vous épauler. Ceci est fait afin d’être sûr que tout se passe bien pour cette nouvelle grossesse. Il est possible que vous fassiez des analyses ou échographies supplémentaires, mais il faut se rassurer que ce sera pour notre bien et celle du fœtus. Dans tous les cas, il est important d’être plus positive et de se rassurer.

Des difficultés à s’investir dans une nouvelle grossesse

C’est évident qu’une fausse couche laisse toujours des traces. Il est parfaitement possible que vous ayez peur qu’une nouvelle fausse couche survienne ce qui pourrait vous déstabiliser encore plus qu’avant. Ceci est seulement guidé par le cerveau pour vous préparer à vous protéger et moins souffrir en cas de souci encore.

Il est vrai que le fait d’oublier d’avoir fait une fausse couche demande du temps. C’est dans ce contexte que les professionnels recommandent de patienter quelques cycles avant de retomber enceinte. Cette démarche se base plutôt sur la morale que pour une raison physiologique. En tout cas, il ne faut pas hésiter à parler de vos craintes à votre sage-femme ainsi qu’à votre entourage.

Quelles sont les étapes à passer pour mieux vivre une grossesse

Lorsqu’on a dépassé le moment de la grossesse où on a fait une fausse couche, on a moins de pressentiment et on peut alors s’investir dans une nouvelle grossesse. Les différents maux qui survinrent au fur et à mesure peuvent rassurer sur l’évolution de la nouvelle grossesse.

En même temps, il est préférable de ne pas être trop dure avec soi-même. La tristesse ainsi que les pleure malgré la joie de porter de nouveau la vie est entièrement normale pour ce genre de personne. Il faut aussi toujours avoir en tête que votre compagnon ainsi que votre entourage sera toujours à votre côté pour surmonter avec vous votre dernière mésaventure sur la grossesse.

j’ai peur des hommes suite à mon viol

J’ai été victime d’un viol et depuis je n’arrive plus ne serait-ce que de regarder un garçon

Un viol est défini par le fait d’être touché à des endroits intimes de son corps sans avoir l’autorisation. L’agresseur touche à l’intimité de sa victime ou oblige ce dernier à lui toucher les organes génitaux. Lors d’un viol, il y a présence d’un contact physique direct. Cet acte non consenti par la victime est une infraction punie par la loi.

Quelles sont les conséquences d’un viol sur les enfants ?

L’âge moyen des victimes d’agression sexuelle est de dix ans. Cela inclut tous les types d’agressions sexuelles, notamment les attouchements. Les conséquences de ces abus sont multiples chez les mineurs, qui peuvent persister jusqu’à l’âge adulte.

Cela peut entrainer des conséquences psychologiques, physiques et faire un impact important sur la vie sociale. Dans l’ordre psychologique, une personne victime de viol peut avoir des sentiments de culpabilité, de honte, d’angoisses, de souffrance et de traumatismes. Sur le plan physique, un cas de viol entraine souvent des saignements, le développement de maladies ou un trouble du comportement alimentaire.

Comment aider une personne ayant subi un viol

Il est souvent difficile pour une victime de raconter ce qui lui est arrivé. Près de 4 victimes sur 10 ont subi des épisodes d’amnésie après coup, parfois pendant environ 20 ans. 69 % des victimes affirment avoir déjà parlé à une autre personne de leur agression, mais il leur a fallu un certain temps pour le faire.

La liberté d’expression est souvent une bonne chose. Les victimes qui se confient ont besoin de bonté, de compassion et de soutien. Aucune agressivité ne doit être banalisée, on doit aider sans juger. Il est nécessaire d’être disponible et attentionné, des qualités qui permettront à la victime d’oser en parler.

Que faut-il faire lorsqu’on est victime d’un viol

Lorsqu’on connait quelqu’un qui a été victime d’attouchements ou de viol ou si on est la victime, il existe plusieurs alternatives à prendre en compte le plus rapidement afin de minimiser les dégâts. La première chose à faire lorsqu’on est témoin d’un viol est de contacter la police ou la gendarmerie la plus proche pour déposer une plainte.

En même temps, il est nécessaire de conserver des indices et des preuves de l’agression pour aider les autorités à faciliter l’arrestation de l’agresseur. Enfin, il ne faut pas hésiter à parler autour de soi pour vous aider et vous soutenir dans cette épreuve.

je suprotège mes enfants et ils ont en marre

Je suis trop protecteur (rice) avec mes enfants et je les empêche de vivre

Les médias rapportent parfois des événements malheureux qui nous donnent la sensation que le danger est à peu près partout. Cela nous amène, sans que l’on s’en rende compte, à être plus craintifs pour nos enfants. Dans ce contexte, il peut être compliqué de savoir si notre approche en matière de protection et de sécurité est adaptée.

Quelle est la différence en protéger et surprotéger ?

Tout d’abord, il faut savoir qu’un enfant a besoin de protection, mais pas de surprotection. La protection signifie répondre aux besoins liés au développement de l’enfant comme son besoin d’amour, d’attachement et de stimulation. Pour bien faire cela, il est important de mettre en place des règles claires, cohérentes, constantes et prévisibles.

Par ailleurs, la surprotection d’un enfant, c’est faire à sa place des mouvements qu’il serait capable d’effectuer lui-même en lui évitant les blessures ou les chagrins. Par exemple, sur un escalier, la surprotection est le fait de prendre dans ses bras un enfant de 2 ans au lieu de lui montrer les gestes à faire pour monter et descendre dessus. Le rôle d’un parent est de guider son enfant en l’aidant au besoin jusqu’au jour où il sera capable de le faire seul.

Conséquences de la surprotection pour l’enfant

Lorsque vous surprotégez votre enfant, il se sent dépendant de vous, ce qui peut nuire au développement de son autonomie. Par exemple, si vous le nourrissez encore à la cuillère alors qu’il est capable de se nourrir tout seul, il pourrait finir par croire qu’il a besoin de vous pour se nourrir.

De plus, en l’empêchant de faire certaines choses ou d’affronter certaines situations désagréables, vous lui envoyez le message que vous ne croyez pas en ses capacités. Même si vous pensez bien faire, surprotéger votre enfant peut donc lui donner l’impression qu’il est incapable de faire quelque chose.

L’importance d’explorer et de faire des erreurs

De 9 mois jusqu’à l’âge de 3 ou 4 ans, votre enfant est curieux et très actif. Il fouille partout et apprend beaucoup de tous les objets. Par exemple, il remarque leurs formes, leurs textures, le bruit qu’ils font quand ils frappent le sol, etc. Ces découvertes sont essentielles pour le développement de son intelligence.

Pour cette raison, il faut le laisser tout-petit explorer son environnement à son goût. Il est aussi tentant de surprotéger votre enfant en l’empêchant de faire des erreurs ou en lui faisant croire que sa faute n’en est pas une pour éviter qu’il se sente dévalorisé. Faire des erreurs et trouver les solutions pour les remettre à sa place permet à l’enfant de faire des apprentissages et de se responsabiliser.

Laisser un enfant libre

Voir son enfant prendre certains petits risques lorsqu’il joue peut d’ailleurs pousser certains parents à adopter un comportement surprotecteur. Pourtant, le jeu libre et risqué est bénéfique, entre autres, pour le développement de l’autonomie, de l’estime de soi, du sentiment de compétence, de la créativité.

En tout cas, que vous soyez parent depuis longtemps ou si vous êtes un nouveau parent, il ne faut pas hésiter à en parler à des personnes de son entourage pour avoir des idées sur le traitement et la protection de son tout-petit.

je souffre de troubles anxieux

Je suis toujours très anxieux (se) et cela m’empêche de vivre.

L’anxiété est un état d’esprit normal qui permet d’augmenter le niveau de concentration et de vigilance en cas de menace ou de défi. Par ailleurs, celle-ci peut devenir une maladie invalidante que l’on surnomme un trouble anxieux généralisé.

Qu’est-ce que l’anxiété ?

L’anxiété est une émotion naturelle face à une menace ressentie. Cet état d’esprit est très utile et elle fait partie de nos réactions d’adaptation aux stimulations extérieures ce qui nous permet d’accroitre notre vigilance dans les nouvelles situations. Cet état psychologique est tout à fait normal lorsqu’elle est bien tolérée et qu’elle n’est pas perçue comme une souffrance excessive.

Il faut savoir que tout le monde ne réagit pas de la même façon face à l’anxiété. D’autres personnes peuvent développer divers troubles en lien avec une anxiété excessive que l’on nomme « troubles anxieux graves ». Ce genre de personne est incapable de mener une vie normale. Il est à prendre en compte que l’anxiété peut facilement devenir un problème majeur de santé mentale.

Quels sont les signes de l’anxiété ?

L’anxiété peut varier d’une personne à l’autre. Dans son plan général, elle envahit l’ensemble du champ de la pensée. Ce qui entraine un trouble de la santé mentale. Elle commence par se caractériser par une sensation de peur, d’inquiétude, de panique ou de malaise. C’est à ce moment aussi qu’une personne peut perdre le contrôle de soi avec une impression de ne plus être soi-même.

Des signes physiques peuvent aussi apparaitre lors d’une anxiété grave ce qui fait penser à d’autres maladies. Il est possible d’avoir des tremblements, des sueurs, un souffle court, des nausées et bien d’autres signes pouvant être l’apparition d’une anxiété. En tout cas, il ne faut jamais penser que l’anxiété peut être une souffrance, mais plutôt une bonne chose pour ceux qui savent bien le gérer.

Quelles sont les causes de l’anxiété ?

L’anxiété ne dispose pas d’une cause unique. Elle est plutôt déclenchée par plusieurs facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux. Il faut savoir aussi que l’anxiété est génétique, c’est-à-dire que l’anxiété est héréditaire. A priori, les troubles anxieux sont souvent reliés par les évènements de la vie.

Certaines tumeurs peuvent déclencher une anxiété. On parle alors ici d’anxiété secondaire comme dans l’hyperthyroïdie, la dépression, les psychoses et le trouble bipolaire.

Comment évolue une anxiété ?

L’anxiété peut s’accroitre de différentes façons. Les différentes périodes de la vie occasionnent de l’anxiété à des niveaux différents. L’adolescence, la ménopause et le troisième âge sont particulièrement propices à l’anxiété à cause des changements profonds qui s’effectuent dans le corps humain.

En tout cas, il ne faut pas s’inquiéter lorsqu’on est une personne anxieux, il faut plutôt y faire face et d’essayer d’en parler à son entourage ou à des professionnels comme les médecins ou les psychologues.

j’ai peur de faire mon coming out

Je suis gay et je n’ose pas le dire à mes proches

L’homosexualité est une discussion taboue entre les parents et les enfants. Pour les parents, il est toujours difficile de savoir que son enfant aime une personne du même sexe que lui. Par ailleurs, un jour ou l’autre, il faut faire face à la réalité et comprendre petit à petit ce genre de choix.

Comment annoncer la nouvelle à ses parents ou ses proches ?

Il n’existe pas de formule secrète pour dire à ses proches que vous êtes gay ou lesbienne. Il se peut que ces personnes aient déjà quelques soupçons sur votre orientation sexuelle, mais la nouvelle peut tout de même faire l’effet d’une douche froide. Il faut aussi être conscient que les parents passeront par une étape d’acceptation lors de laquelle ils auront tristes et contrariés en même temps.

C’est le moment de se poser une autre question : allez-vous le dire à vos deux parents à la fois ? Il se peut que vous ressentiez plus d’affinités avec votre mère ou, au contraire, l’un des deux fait moins de commentaires homophobes et semble plus compréhensif. Beaucoup de cas similaires choisissent un proche avec lequel ils se sentent plus sûrs.

À quel moment annoncer l’homosexualité à ses proches ?

Chaque famille dispose d’un moment approprié pour parler des choses sérieuses. C’est le bon moment pour se lancer et en profiter pour annoncer la nouvelle à ses proches. La vérité peut toujours blesser, mais il vaut mieux entendre une vérité blessante que de vivre dans un mensonge.

Une fois que l’on a choisi le bon moment, il ne reste plus que la façon dont on peut l’annoncer. Pour cela, il existe mille façons de sortir de l’ombre. Pour apaiser la tension, il faut toujours être direct et clair et choisir ce qui correspond le mieux à vos sentiments.

Quelles sont les conséquences d’annoncer son homosexualité à ses parents ?

Il faut prendre en compte que la haine et les préjugés contre l’homosexualité se fondent sur l’ignorance et se dissipent lorsque les personnes s’informent. Il peut se passer plusieurs jours et voir des mois avant que vos proches acceptent votre style de vie.

Afin de les aider à mieux comprendre l’homosexualité, il ne faut pas hésiter à se procurer du matériel d’information. Cette démarche peut facilement aider vos parents à accepter votre orientation sexuelle. Enfin, il faut toujours garder en tête que chaque personne est unique et que les parents on leur propre dynamique et manière d’exister.