que faire avec ma fille de 15 ans enceinte

Ma fille de 15 ans est tombée enceinte et je ne sais pas quoi faire

La contraception et l’éducation sont actuellement des choses acquises pour les adolescents. De ce fait, de nombreuses jeunes filles entre 15 et 19 ans tombent enceintes chaque année. Comme au Canada, 2,92 % des jeunes dans cette fourchette d’âge font face à la grossesse actuellement, et la plupart du temps non désirée. Dans cet article, nous allons vous préparer à faire face à ce genre de situation si votre propre enfant entre dans ces statistiques.

Comment annoncer à mes parents que je suis enceinte

Entre les parents et les enfants, la discussion doit toujours être aussi ouverte que possible. Dans ce contexte, il n’est pas difficile pour l’enfant de s’exprimer pour annoncer une nouvelle. Il est possible de remarquer plusieurs émotions chez les parents lorsqu’on souhaite leur annoncer une bonne ou mauvaise nouvelle, mais dans tous les cas, il est important de toujours garder son calme et rester compréhensif.

Pour les parents, il est possible que vous n’ayez jamais envisagé de vous retrouver dans ce genre de situation. Par ailleurs, il est toujours bon de savoir que votre fille est encore très jeune et elle a besoin de conseils de votre part. Il faut avoir à l’esprit qu’à partir de ce moment, votre petite fille est une adulte, du moins sur le plan physique et une mère potentielle. Il faut garder aussi à l’esprit que votre enfant aurait pu garder cela pour elle-même, mais avec la confiance et en cherchant votre soutien, elle s’est ouverte en confiant sa grossesse.

Quelles sont les alternatives disponibles ?

Lorsqu’on tombe enceinte, il existe toujours plusieurs options disponibles qu’une personne peut envisager de faire. Par ailleurs, il est toujours conseillé de demander des avis extérieurs pour gérer facilement la situation. Que ce soit pour les parents ou la jeune fille, les avis des personnes extérieurs comme son entourage ou des spécialistes seraient toujours la bienvenue.

Dans la plupart des cas, surtout chez les jeunes de nos jours, l’avortement est toujours la première alternative disponible. Dans le contexte, où la mère souhaite garder son enfant, il est possible de penser à la mise en adoption dès la naissance ou ce que l’on dit toujours, la parentalité. Dans ce dernier choix, la fille peut choisir de vivre seule ou avec le père de l’enfant.

Quelle attitude adopter si vous êtes les parents du garçon ?

On a souvent tendance à négliger que l’annonce d’une grossesse non désirée est aussi un choc chez le père de l’enfant. S’il arrive évidemment que le gars réfute toute responsabilité et laisse la jeune fille tout seule avec le problème.

Encore une fois, si votre fils a eu l’honnêteté de vous parler, c’est qu’il reconnait la valeur de votre jugement et a besoin de votre aide. Il serait peut-être bon d’organiser une rencontre avec toutes les personnes concernées par la situation comme la jeune fille et ses parents afin de prendre ensemble la meilleure décision.

comment me comporter avec ma compagne qui a un cancer

Ma compagne (mon compagnon) est atteint(e) d’un cancer et j’ai peur de ne savoir quoi faire pour la soutenir dans cette épreuve

Apprendre le cancer d’une personne proche est toujours aussi bouleversant pour ceux qui l’entourent. Et, il est tout à fait normal de s’interroger très souvent sur son rôle à jouer pendant cette étape difficile que la personne traverse. Dans cet article, nous allons vous apprendre à gérer ce genre de situation et comment faire face à une personne atteinte d’un cancer.

Comment réagir à l’annonce du cancer

Annoncer son cancer est une épreuve pour la personne malade. Elle doit non seulement faire face aux réactions de son entourage, mais également prendre elle-même, à travers cette annonce, pleinement conscience du diagnostic. Ainsi, en tant que proche, quelques comportements simples peuvent participer à rendre cet instant moins difficile.

Ainsi, lorsqu’on est face à une personne atteinte du cancer, il faut adopter un comportement mesuré. Pour cela, il faut toujours rassurer la personne afin d’atténuer sa maladie. Ensuite, il faut être attentif à ce que la personne dit pour éviter de lui surcharger l’esprit, car le cancer attaque en premier la psycho d’une personne. Enfin, il faut toujours soutenir la personne malade psychologiquement et physiquement.

Accompagner le quotidien de la personne et communiquer en toute liberté

Tout au long de sa maladie, une personne atteinte de cancer est très susceptible. Pour cela, avoir l’accompagnement de son entourage est donc très précieux pour ce dernier. Tout d’abord, l’accompagnement physique est très important. De ce fait, l’intention d’accompagner la personne atteinte de cancer pour ses rendez-vous médicaux est déjà très importante pour celui-ci.

La complicité est aussi un fait qui permet à la personne malade de se sentir mieux pour surmonter sa maladie. Pour la maladie, il est important de ne pas avoir de tabou et d’essayer d’alimenter le dialogue autour de la maladie. Vous êtes touchés par ce changement de vie au moins tous les deux. Autant vous y intégrer à deux en vous renseignant vous aussi sur les traitements proposés et en discutant de cela avec votre proche.

Déculpabilisé et pensé à soi

Lorsqu’on est proche d’une personne atteinte d’un cancer, il faut impérativement arrêter de se laisser envahir par un sentiment d’impuissance. En tant que proche, il n’est pas rare d’avoir l’impression que nous ne servons à rien. Ensuite, il ne faut pas hésiter à demander une aide extérieure afin de bien comprendre la situation.

Pour le moral, il faut toujours se changer les idées en ayant une vie active en dehors de la maladie. Il est important de sortir régulièrement pour se vider un peu l’esprit et se recentrer un peu sur soi-même. Parfois, il est impossible de venir en aide à une personne dans le besoin si on n’est pas dans une très bonne condition morale et physique.

ma fréquentation m’a amené en prison mais j’en ai peur

Je viens de sortir de prison et je veux changer de fréquentation pour ne plus refaire les mêmes bêtises, mais j’ai peur d’eux.

Tous les détenus qui entrent en prison seront un jour amené à sortir. Il est dans l’obligation de la société qu’il ne rechute pas et qu’il puisse réhabiliter. Une telle réintégration ne peut pas se faire du jour au lendemain. Elle a besoin de préparation et d’accompagnement.

Une vie pénible après la sortie de prison

Même en faisant conception des craintes de tout le monde, le retour vers le monde libre est toujours pénible pour la simple raison que le détenu y est peu préparé durant son isolement. Par ailleurs, ce n’est pas pour ceux qui ont une famille. Outre, 50 % des personnes sorties de prison sont impatiemment attendus par leur famille.

Une fois dehors, la priorité est de trouver un logement, du travail et entamer les démarches administratives comme la CPAS et la mutuelle. Ce n’est pas toujours évident quand on a été séparé de la vie en société pendant plusieurs années ou que l’on n’a jamais été autonome. C’est là que se pose la question si la prison prépare vraiment un détenu à sa réhabilitation.

Le monde du travail et de la formation

Il est vrai que des interventions sont mises en place pour préparer la réhabilitation. Pour tous les prisonniers, il est bon de savoir qu’il existe deux types de formation proposés au sein des prisons. Il s’agit des formations professionnelles, dispensées la plupart du temps par des écoles de promotion sociale et permettant l’obtention d’un diplôme ou d’une attestation de réussite, ainsi que des formations non qualifiantes généralement prises en charge par des associations n’octroyant qu’un certificat de fréquentation des cours.

Les pratiques diffèrent fortement d’un établissement à l’autre, en fonction de l’administration pénitentiaire, des priorités de la direction et du personnel, ainsi que de l’architecture des bâtiments et bien entendu de la motivation des détenus. De plus, comme dans certaines prisons, il n’y a pas de travail pour tout le monde, et il faut parfois attendre plusieurs semaines voire des mois avant d’y adhérer.

La délinquance n’est pas un hasard

Avant de parler de réinsertion, il faut avant tout se pencher sur le cas de l’insertion. Comme tous les détenus, le banditisme n’est pas le fruit du hasard, mais provient parfois d’un déséquilibre mental. Celui-ci implique souvent le retrait familial ou scolaire, un manque de repères, une instabilité matérielle, une dépendance à l’alcool ou drogue, voire même une recherche d’affirmation.

Que ce soit pour la réinsertion d’une personne libérée ou pour un changement de mentalité générale il est primordial de remettre l’individu au centre, réinventé des liens et tisser du relationnel. Ce genre de situation peut se passer par un attachement à des personnes ou à des projets comme la participation à une activité, un objectif sportif ou l’implication dans une association.

je suis surendetté et je ne vais pas m’en sortir

Je suis très endetté et jamais je n’arriverais à tout rembourser

Voulez-vous vous défaire de vos problèmes financiers ? Pour cela, il est important à savoir qu’il faut commencer par changer le mode de vie et à renoncer à vivre au-dessus de ses moyens. Pour le plan psychologique, les dettes sont source de stress et d’angoisse. Si ceux-ci ne sont pas régularisés, elles risquent de s’accroitre rapidement en faisant un impact majeur dans la vie.

Suivre de près son budget

Pour sortir de vos problèmes financiers, vous devez connaître les raisons de votre endettement et les identifier avec précision. Il peut s’agir d’une perte d’emploi ou d’un accident, mais dans la majorité des cas, les dettes s’accumulent à cause de mauvaises habitudes souvent liées à une consommation excessive. Le meilleur moyen d’y arriver est d’établir un plan efficace en faisant un suivi de votre budget personnel de façon périodique.

Il vous est donc nécessaire de faire une analyse de votre état financier en sortant vos relevés de compte. Prenez le temps de lister vos dépenses pour savoir où va votre argent. Les dettes viennent lorsqu’il y a un écart entre vos revenus et vos dépenses, car pour essayer de compenser la différence les gens s’endettent. Pendant qu’il est encore temps, adoptez de nouvelles habitudes de consommation en planifiant vos dépenses, en évitant les achats impulsifs et l’utilisation abusive des cartes de crédit.

Respectez ses engagements

Le remboursement de vos dettes est une entreprise sérieuse que vous devez affronter intelligemment. En dressant une liste, vous aurez une idée du montant total de celles-ci. Elle vous servira d’inventaire pour visualiser la somme que vous devez à vos créanciers pour démontrer que vous êtes solvable.

En fonction de cette liste, déterminez la dette que vous allez payer en priorité. Concentrez-vous sur une dette à la fois. Il est conseillé de commencer par rembourser celui qui a le plus haut taux d’intérêt en adoptant soit un paiement échelonné soit un remboursement partiel. Lorsque les circonstances vous le permettent, payez le maximum de temps en temps pour venir à bout de vos dettes rapidement. Pour le reste, ne versez que le minimum jusqu’à ce que la première dette soit entièrement remboursée.

Développement d’une culture d’épargne

Une fois que vous aurez réussi à entamer un recouvrement de dettes, vous pourrez remettre de l’ordre dans votre vie financière. Un plan d’épargne peut vous aider à pallier les coups durs. Pour faire plus d’économies, évitez les petites dépenses quotidiennes inutiles.

Pour réussir à sortir de l’endettement, fixez-vous des objectifs à long terme. Restez réaliste et ne soyez pas trop strict envers vous-même pour ne pas vous décourager. Ayez de la rigueur pour pouvoir l’appliquer. Vous aurez donc à distinguer les dépenses essentielles de celles qui peuvent être réduites suivant votre revenu mensuel.

je cache à mes parents que je suis actrice porno

Je suis actrice porno et mes parents ne le savent pas

Selon un spécialiste, une femme ne devient pas star du porno par tentation à l’argent, ni par naïveté, mais par le besoin de reconnaissance. Aussi, la pornographie n’est pas vue comme un métier, mais une phase de transition dans la vie de certaines femmes. Mais, on va voir ensemble pour quelles raisons une femme est poussée dans le milieu de la pornographie.

Pour quelles raisons les jeunes femmes entrent-elles dans le milieu de la pornographie ?

Tout d’abord, les jeunes femmes qui entrent dans le milieu de la pornographie souhaitent avoir plus de reconnaissance. Dans la plupart des cas, ces jeunes femmes ont connu un rapport de père difficile, voire inexistant, et avec le temps cette psychose n’a fait qu’accentuer. Par ailleurs, il faut tout de même savoir que la pornographie est vue comme un acte de violence dont certaines femmes ne mesurent que très rarement les conséquences.

Le salaire moyen d’une actrice porno va de 250 à 500 euros. De ce fait, l’argent n’est pas du tout une raison pour laquelle une jeune femme entre dans le milieu de la pornographie. En vérité, la dimension financière n’est pas élémentaire, car la pornographie n’est pas un travail, mais une étape dans la vie. L’argent c’est ce qui pousse la prostitution, mais la pornographie c’est la reconnaissance.

Les actrices présentent-elles un profil psychologique particulier ?

Il faut savoir que tout le monde dispose d’un profil psychologique particulier. Cela peut être dû à plusieurs facteurs. Pour les actrices pornos, cela est dû à la carence affective, mais non pas la perversion. L’absence de père ou un rapport conflictuel avec lui est un quasi constant.

Cependant, le fait de devenir star du porno est une expérience à part entière où on apprend évidemment beaucoup de choses sur soi-même et ses limites. Le travail a une dimension de diversion pour l’actrice et libérateur pour le spectateur. En d’autres termes, devenir star du porno peut atteindre facilement et rapidement la morale d’une jeune femme ce qui peut entrainer un traumatisme toute la vie.

Est-ce que la pornographie donne accès à des choses dont certaines femmes ont besoin ?

Un point sûr pour la raison qui pousse une jeune femme dans la pornographie est de savoir par la suite que le prince charmant n’existe pas. Tourner une seule scène pour ces jeunes femmes, c’est se mettre dans la tête qu’il faudra vivre avec cette idéologie toute sa vie. Bref, la pornographie permet d’offrir plus de responsabilités.

En tout cas, pour se libérer de ce fardeau, il est conseillé pour les jeunes femmes de consulter un professionnel ou une personne de son entourage avec qui en parler pour un soutien moral. Le passage vers la pornographie est totalement évitable pour chaque jeune femme.

je suis un mythomane

Je ne peux pas m’empêcher de mentir à tout le monde et d’enjoliver ma vie

Le mensonge, c’est mal. C’est ce que nous disons toujours à nos enfants. Par ailleurs, il arrive dans la vie que nous fassions de petits ou gros arrangements avec la réalité. Selon les psychologues, la déformation de la réalité est un aspect psychologique qui touche la plupart des personnes dans ce monde.

Une marque de respect

Jouer avec la vérité est indispensable à la vie en société. Savoir mentir ou, du moins, ne pas dire toute la vérité n’est pas une preuve de malhonnêteté, au contraire, c’est une marque de considération et de respect. Autrement dit, toute vérité a sa contrevérité.

Par contre, selon un psychothérapeute américain, c’est en apprenant à dire tout ce qui nous passe par la tête qu’une personne peut apprendre à nous connaitre et à connaitre les autres. Se libérer des pensées et des jugements qui nous angoissent est le seul moyen de vivre des relations authentiques. Il faut prendre en compte en même temps que la sincérité n’a en effet rien à avoir avec la vérité.

Un apprentissage social

Pour une personne normale, la compétence à mentir surgit vers 4 ans. C’est le début de la découverte de l’intimité et qui va être confirmé vers l’âge de 7 ans. À cet âge, l’enfant absorbe le fait qu’il a des pensées intimes et que toutes ces choses n’ont pas à être exprimées.

Avec la prise de conscience, l’enfant se rend compte qu’il peut dire autre chose que ce qui est vraiment, c’est ce qu’on appelle par la suite le mensonge. En se familiarisant, celui-ci peut apprendre à jouer toute la panoplie depuis les petits mensonges jusqu’à la plus grosse imposture en passant par le mensonge de sollicitude.

Un acte de réflexe

Selon une étude menée par des experts psychologiques, une personne normale est incapable de ne pas mentir. Bien sûr, certains mensonges consistent en une distraction consciente et audacieuse de la vérité dans le but d’entourlouper l’autre. Dans le quotidien d’une personne, le fait de dire des mensonges est classifié comme un acte de réflexe et d’instinct auxquels, celui-ci a recours pour se protéger.

En résumé, le mensonge est parfois utilisé pour protéger la relation établie avec une tierce personne. Un individu ment par peur de perdre l’amour d’une autre personne. De fait, les gens qui ont tendance à dire tout ce qu’ils pensent sont des personnes vraiment sûres d’eux. Ce genre de personne prend tellement en confiance avec lui-même qu’ils ne sont pas retenus par la peur de perdre l’amitié de l’autre.

j’ai peur de retomber enceinte suite a une fausse couche

J’ai fait une fausse couche et j’ai peur de tomber enceinte et de revivre cet enfer

La fausse couche est quelque chose que bien des mères redoutent. Lorsque cela se produit, c’est un choc, même un traumatisme, souvent minimisé par l’entourage, et cela doit être surmonté. Difficile de croire qu’on puisse tomber enceinte à nouveau.

Apprendre à gérer cette peur de la fausse couche

Votre défi au cours de cette grossesse est de faire face à cette peur et à votre histoire. C’est vrai qu’il est dur de se remettre, mais il n’est pas possible d’arrêter de vivre et de rester enfermer dans cette peur. Ainsi, il est conseillé de se faire confiance et de se dire que l’on va y parvenir.

À part la gestion psychologique, il existe des professionnels comme votre médecin traitant qui sera à vos côtés pour vous épauler. Ceci est fait afin d’être sûr que tout se passe bien pour cette nouvelle grossesse. Il est possible que vous fassiez des analyses ou échographies supplémentaires, mais il faut se rassurer que ce sera pour notre bien et celle du fœtus. Dans tous les cas, il est important d’être plus positive et de se rassurer.

Des difficultés à s’investir dans une nouvelle grossesse

C’est évident qu’une fausse couche laisse toujours des traces. Il est parfaitement possible que vous ayez peur qu’une nouvelle fausse couche survienne ce qui pourrait vous déstabiliser encore plus qu’avant. Ceci est seulement guidé par le cerveau pour vous préparer à vous protéger et moins souffrir en cas de souci encore.

Il est vrai que le fait d’oublier d’avoir fait une fausse couche demande du temps. C’est dans ce contexte que les professionnels recommandent de patienter quelques cycles avant de retomber enceinte. Cette démarche se base plutôt sur la morale que pour une raison physiologique. En tout cas, il ne faut pas hésiter à parler de vos craintes à votre sage-femme ainsi qu’à votre entourage.

Quelles sont les étapes à passer pour mieux vivre une grossesse

Lorsqu’on a dépassé le moment de la grossesse où on a fait une fausse couche, on a moins de pressentiment et on peut alors s’investir dans une nouvelle grossesse. Les différents maux qui survinrent au fur et à mesure peuvent rassurer sur l’évolution de la nouvelle grossesse.

En même temps, il est préférable de ne pas être trop dure avec soi-même. La tristesse ainsi que les pleure malgré la joie de porter de nouveau la vie est entièrement normale pour ce genre de personne. Il faut aussi toujours avoir en tête que votre compagnon ainsi que votre entourage sera toujours à votre côté pour surmonter avec vous votre dernière mésaventure sur la grossesse.

j’ai peur des hommes suite à mon viol

J’ai été victime d’un viol et depuis je n’arrive plus ne serait-ce que de regarder un garçon

Un viol est défini par le fait d’être touché à des endroits intimes de son corps sans avoir l’autorisation. L’agresseur touche à l’intimité de sa victime ou oblige ce dernier à lui toucher les organes génitaux. Lors d’un viol, il y a présence d’un contact physique direct. Cet acte non consenti par la victime est une infraction punie par la loi.

Quelles sont les conséquences d’un viol sur les enfants ?

L’âge moyen des victimes d’agression sexuelle est de dix ans. Cela inclut tous les types d’agressions sexuelles, notamment les attouchements. Les conséquences de ces abus sont multiples chez les mineurs, qui peuvent persister jusqu’à l’âge adulte.

Cela peut entrainer des conséquences psychologiques, physiques et faire un impact important sur la vie sociale. Dans l’ordre psychologique, une personne victime de viol peut avoir des sentiments de culpabilité, de honte, d’angoisses, de souffrance et de traumatismes. Sur le plan physique, un cas de viol entraine souvent des saignements, le développement de maladies ou un trouble du comportement alimentaire.

Comment aider une personne ayant subi un viol

Il est souvent difficile pour une victime de raconter ce qui lui est arrivé. Près de 4 victimes sur 10 ont subi des épisodes d’amnésie après coup, parfois pendant environ 20 ans. 69 % des victimes affirment avoir déjà parlé à une autre personne de leur agression, mais il leur a fallu un certain temps pour le faire.

La liberté d’expression est souvent une bonne chose. Les victimes qui se confient ont besoin de bonté, de compassion et de soutien. Aucune agressivité ne doit être banalisée, on doit aider sans juger. Il est nécessaire d’être disponible et attentionné, des qualités qui permettront à la victime d’oser en parler.

Que faut-il faire lorsqu’on est victime d’un viol

Lorsqu’on connait quelqu’un qui a été victime d’attouchements ou de viol ou si on est la victime, il existe plusieurs alternatives à prendre en compte le plus rapidement afin de minimiser les dégâts. La première chose à faire lorsqu’on est témoin d’un viol est de contacter la police ou la gendarmerie la plus proche pour déposer une plainte.

En même temps, il est nécessaire de conserver des indices et des preuves de l’agression pour aider les autorités à faciliter l’arrestation de l’agresseur. Enfin, il ne faut pas hésiter à parler autour de soi pour vous aider et vous soutenir dans cette épreuve.

j’ai dilapidé notre argent de couple

J’ai dépensé toutes nos économies et je ne sais pas comment le dire à ma femme (mon mari)

Après la sexualité, l’argent est l’un des sujets les plus irritables dans la vie d’un couple. Il est parfois source d’embrouille lorsqu’on en parle et c’est aussi un sujet tabou quand on n’en parle pas. Aussi, la gestion de celui-ci en dit long sur la nature de la relation entre deux conjoints.

L’absence de reconnaissance des mères au foyer

Le pouvoir conféré par l’argent conduit à détenir un travail salarié pour une activité beaucoup plus noble que les diverses tâches liées au travail domestique. Beaucoup de femmes qui restent à domicile souffrent de ce manque de reconnaissance. Et surtout si on a pour compagnon un homme qui doute de sa masculinité.

Pour lui, sa grille salariale est la principale source de valeur et d’estime de soi. Dans de tels cas, des conflits ne peuvent surgir qu’à partir d’une croyance implicite : « Je gagne plus que toi, donc je vaux plus que toi. » Comment la femme peut-elle sortir de ce malaise ? Premièrement, son choix de se dévouer pour sa famille doit être entièrement assumé par les deux époux.

Mon mari est dépensier

Garder un compte personnel n’est pas toujours suffisant pour garantir le respect de l’autonomie et de la liberté de chacun. Notre rapport à l’argent est construit dans l’enfance basée sur les croyances et les messages que nous avons reçus de nos parents. Certains ont été élevés dans la crainte de l’absence, d’autres en abondance.

Si les deux époux ont donc une perception différente du monde, il en résulte une incompréhension. Devant un partenaire irresponsable qui vide la tirelire du ménage, nous sommes en droit de nous plaindre. Mais s’il ne dépense que son propre argent, il vaut mieux se demander : pourquoi est-ce que cela me dérange de voir mon conjoint donner des cadeaux ? Est-ce que j’ai raison ? Pourquoi l’argent me ronge-t-il les doigts ?

Peines de cœur et d’argent

Une séparation difficile entraîne toujours des conflits monétaires comme le partage des biens, le montant de la pension alimentaire et l’indemnité compensatoire. Ceux qui en sont incapables utilisent parfois des fonds pour prolonger artificiellement une relation qui n’existe plus.

Dans tous les cas, il est nécessaire de consulter un psychologue spécialisé ou d’en parler à son entourage. Ceci est fait pour ne pas blâmer le dépensier, mais au contraire, c’est très utile pour trouver des idées ou des solutions pour parler avec l’autre sur les dépenses abondantes.  

je souffre de mysophobie a cause du COVID-19

Depuis qu’il y a eu l’épidémie du COVID, je ne peux plus sortir de chez moi ou recevoir, car j’ai peur de l’attraper

La Corona virus ou COVID-19 est une maladie infectieuse causée par le virus SARS-CoV-2. C’est une maladie qui se propage par la bouche ou par le nez quand une personne tousse ou éternue. Pendant un certain temps, le virus a tué d’innombrables innocents dans le monde. Et, c’est tout à fait normal de toujours avoir peur de l’attraper puisque c’est un virus mortel.

Les différentes réactions en contexte du COVID-19

La pandémie de COVID-19 constitue une réalité particulière et inhabituelle. Elle peut affecter les personnes sur le plan physique, mais également sur le plan psychologique. En effet, dans ce genre de contexte, de nombreuses personnes vivront des réactions de stress, d’anxiété et de déprime. Dans cet article, nous allons vous aider dans la gestion des réactions à avoir pendant et après la pandémie pour minimiser leurs impacts dans la vie.

Le COVID est tout d’abord une véritable source de stress. Et comme nous le savons tous, le stress peut entrainer l’anxiété et même aller jusqu’à la dépression. Contrairement à la peur, l’anxiété est une réponse vague ou inconnue. Elle se manifeste lorsqu’une personne croit qu’un évènement dangereux ou malheureux peut se présenter et que nous l’anticipons.

Manifestations liées au stress, à l’anxiété et à la déprime face au COVID

Les réactions de stress, d’anxiété et de déprime peuvent surgir de plusieurs façons chez une personne, et ce, sur divers aspects comme le physique, la psycho, l’émotion et le comportement. Sur le plan physique, il est possible d’avoir des maux de tête, des difficultés de sommeil, la diminution de l’appétit et de l’énergie avec une sensation de fatigue.

À part le physique, le COVID touche beaucoup le plan comportemental ainsi que psychologique et émotionnel. En ayant connaissance des effets néfastes du COVID, une personne peut avoir une sensation d’inquiétudes et d’insécurité suivie d’une vision négative des évènements quotidiens. Cette attitude peut être accompagnée par une irritabilité et une agressivité qui conclut par une difficulté de concentration.

Les moyens pour améliorer la situation

Les différents troubles psychologiques lors d’une pandémie sont parfaitement normaux pour une personne. Par ailleurs, la plupart des gens possèdent déjà les capacités afin de s’adapter à cette situation. Cependant, il est toujours bien de s’informer au maximum afin d’avoir les informations sur le COVID.

Enfin, il est conseillé de prendre soin de soi-même avec quelques conseils pratiques lorsqu’on a des doutes. Comme le COVID attaque en premier le physique d’une personne, il est fortement recommandé de pratiquer une activité physique qui permet aussi d’extraire le stress et d’éliminer les tensions. Pour le plan moral, il est important de rester en contact avec les gens qui vous font du bien.